Émile, le marathonien, rejoint l’association

Bonjour,

Encore une histoire mais une vraie, pas un truc à dormir debout… Il y a quelque temps l’ami Jacques Elleau a sollicité de la haute bienveillance de l’ami Richard Rosso himself. Diantre, que pouvait-il bien y avoir de si important pour que Jacques interpelle Richard ! Peut-être voulait-il lui parler de champignons ? Non, vous n’y êtes pas ! Jacques a demandé à Richard Cœur de Lion s’il ne pouvait pas retrouver un ancien copain d’Alembert répondant au nom d’Émile (*) Warlaumont.

Richard ne pouvant rien refuser à Jacques, de peur de représailles, ne perdit pas une seconde, enfin presque. Sitôt de retour à la maison, il s’est mis en quête de retrouver cet Émile. Via les réseaux du Net, qui n’ont plus vraiment de secret pour Richard, un geek du mulot et de Windows, il a bien retrouvé notre Émile, enfin l’Émile à Jacques, mais hélas, point d’adresse à se mettre sous les dents… Richard a fouillé, a scruté, a recherché, a vitupéré, mais rien à faire, Émile restait un « sans domicile connu » pour l’ami Richard, à son grand désespoir.

Rien n’arrête Richard, hormis Magda qui a l’œil et le bon ! Un peu comme le jeu des sept familles, si tu ne trouves pas le père, tu n’as qu’à demander la fille. Bingo ! Richard a « dégotté » l’adresse de fifille Warlaumont ! Sans perdre un instant il communiqua cette dernière à Jacques « qui commençait à s’impatienter ».

Sur ces entrefaites, Jacques muni du sésame fifille Warlaumont a réussi à joindre Émile, le « dab » Warlaumont, vous suivez toujours ? L’affaire « était dans le sac » Richard avait retrouvé fifille et Jacques était entré en contact avec Émile Warlaumont.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là, ce serait trop simple. Émile, à son tour, appelle Richard Rosso pour lui demander un bulletin et un… bulletin d’adhésion, ce qui fut fait par retour du courrier. Et aujourd’hui, pardon avant-hier, Gérard Riellant, notre trésorier, a reçu le chèque d’adhésion d’Émile Warlaumont (promotion 1955-1959, section ébénisterie, agence de Bayonne). Fin du premier acte !

À son tour, Richard me contacte pour me faire part de l’histoire et de l’adhésion d’Émile, alors que Gérard, quelques heures avant, m’avait prévenu de l’adhésion d’un nouveau copain s’appelant… Émile Warlaumont, sans doute le même homme ! Mais Richard, à son tour me sollicita. Fichtre, pourquoi Richard s’adressait à moi alors que l’affaire « était dans le sac ».

Richard me demande de « jeter un œil » – ouf pas les deux ! – sur le Net, car notre ami, le « poto » de Jacques Elleau, a fait l’objet, un jour, selon les dires de Richard, d’un super reportage, paru sur le quotidien « le Journal de l’Aisne », suite à ses exploits sportifs, notamment le marathon qu’il a pratiqué en compagnie de très grands champions de l’époque. Mais les exigences de Richard ne s’arrêtèrent pas là, puisqu’il m’a intimé l’ordre « d’en toucher au moins deux mots (ce que je fais en ce moment) sur le site pour que les copains qui l’ont connu puissent prendre, à leur tour, connaissance de la nouvelle de l’adhésion d’Émile » (SIC)…

Certes, j’eus préféré que Richard allât jusqu’au bout de la démarche et que ce soit lui qui vous narre cette histoire dont il était un peu à l’origine ! En bon petit soldat, pardon en « bon nègre » de Richard, je me suis permis d’aller au-delà des directives imposées, quand on aime on ne compte pas, n’est-ce pas… J’ai fouillé et j’ai retrouvé ledit article paru sur le quotidien « le Journal de l’Aisne ». Pour vous faire plaisir et vous faciliter la tâche, j’ai repris l’article et la photo que j’ai mis en page, avant d’en faire un Pdf que je vous joins à ce petit laïus, afin que vous découvriez qui sont réellement Émile l’Alembertin et Émilie, son épouse.

Voilà les amis, vous saurez tout ou presque d’Émile Warlaumont, un ébéniste qui n’a pas exercé longtemps son métier, puisque après son retour du service militaire d’Algérie il est entré dans la police. Juste une petite digression, si tous ceux qui voulaient bien chercher, eux aussi, des copains, je suis sûr que nous en retrouverions et que, certains parmi eux, nous rejoindraient comme vient de le faire Émile le champion de marathon et… de pétanque !

(*) A une voyelle près, Émile avait un prénom prédestiné pour être un champion de marathon… Souvenez-vous, un très grand champion, Emil Zátopek.

Guylem Gohory, aux nom de Richard, Jacques et… Emile

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Remaucourt et Emile

Assemblée générale des Amis du musée

Bonjour,

Je vous fais suivre le courriel corrélatif à la prochaine assemblée générale de l’association des Amis du musée des nourrices et des enfants de l’Assistance publique d’Alligny-en-Morvan. Naturellement, ce dernier est à titre informatif, ce qui n’interdit nullement celles et ceux qui veulent assister à ce rendez-vous de se joindre à la troupe, le meilleur accueil vous sera réservé, même si vous n’êtes pas adhérent.

Ce peut être, d’ailleurs, l’occasion pour adhérer à cette association, où vous pouvez remarquer que la cotisation est a minima, puisqu’il suffit de bourse délier 10 € par an pour obtenir votre carte de membre par… Internet. À cet égard, il vous faut savoir que tout est « informatisé », on ne reçoit aucun document papier tout est dématérialisé, ce qui explique que les coûts bas (sans vilains jeux de mots) !

Dans quelques jours je vous communiquerai les informations relatives au repas annuel qui aura lieu le 4 novembre, au restaurant « Beausite », à Moux-en-Morvan, le village le plus proche d’Alligny-en-Morvan et du musée.

Confraternellement.

Guylem Gohory

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2017-09-16 – AG-2017-MUSEE NOURRICES

Notre nouvel emblème s’expose au musée d’Alligny

Bonjour,

Comme vous le savez, notre ami Robert Raymond a réalisé un « petit » chef-d’œuvre comme lui seul, alors qu’il vient de fêter ses 85 printemps, en a le secret. Ce tableau, notre nouvel emblème, vous a été présenté lors de notre banquet, à Alligny-en-Morvan. Comme je vous l’avais laissé entrevoir, après en avoir fait, en bonne et due forme, la demande à Martine Chalandre, la présidente du musée des nourrices du Morvan et des enfants de l’Assistance publique, ce dernier trônera en bonne place au sein de ce musée. Ce choix est préférable à une exposition au sein de l’école d’Alembert, où il ne serait vu par personne, alors qu’au sein du musée, chaque année, plusieurs milliers de personnes auront tout loisir d’admirer ce magnifique tableau en marqueterie, l’étendard de l’association des anciens de l’école d’Alembert… 

Descriptif du logo

L’école d’Alembert, à la fin du XIXe siècle, est dédiée à l’apprentissage des métiers du bois (ébénisterie) et du livre (typographie et imprimerie) des pupilles de l’Assistance publique de la Seine. Pendant plus d’un siècle, une minorité de pupilles ont forgé, de génération en génération, l’histoire et la renommée de l’école d’Alembert.

Avec l’art de la marqueterie rehaussée par la beauté des placages que la nature a élaboré au fil des âges, pour symboliser cette glorieuse époque de l’école d’Alembert, un logo de 49 x 35 centimètres, composé de vingt essences de bois précieux, exprime les savoir-faire ancestraux de l’artisanat d’art perpétués par les élèves ayant été formés pendant quatre années.

L’idée et le descriptif du logo sont simples, tout repose et s’enracine sur le A signifiant Alembert, Assistance et Amitié.

Le T des compositeurs typographes c’est le talent et du « Caractère ». Un livre symbolise le métier des arts graphiques ; le titre techniquement difficile à aggraver sur l’emplacement réduit du livre pourrait s’intituler : « Le dictionnaire de l’argot des typographes ».

Aux amis imprimeurs, avec le I les rotativistes naviguent sur le nuancier Pantone, un nuancier universel aux 992 couleurs codifiées, avec les sept couleurs significatives (définies par Isaac Newton) un arc-en-ciel en marqueterie avec des bois teintés à cœur, la teinte indigo fut la plus délicate à réaliser c’est finalement un placage de tulipier qui donna le meilleur résultat.

Tout savoir sur les différents bois et leurs propriétés, maîtriser le dessin, connaissance en histoire de l’art, raffinement et précision avec le E des ébénistes qui voient la vie en rose avec le bois de rose, non bien français d’un arbre du genre Dalbergia Variabilis, en provenance uniquement du Brésil et de la Cayenne.

De cette amitié d’adolescents – « débarquant » de leurs bleds – née dans l’enceinte de l’école d’Alembert durant quatre années, perpétuée au foyer de la rue Boutebrie, dans les entreprises et bien au-delà, s’éleva la flamme de l’espérance et de la fraternité. Cette flamme, issue de la bonne rencontre, toujours présente de nos jours, dans notre association qui, en 2017, affiche 117 ans au compteur de sa déjà longue vie. Notre « vieille Dame » n’est pas prête, pour autant, à rendre son dernier râle, puisque la flamme de la fraternité continuera à briller durant encore de longues années au frontispice de notre « insubmersible » et considérée association !

Au nom de l’association des anciens élèves de l’école d’Alembert.

DOS LOGO ROBERT RAYMOND LOGO ALEMBERT ROBER RAYMON