« Mon Gaston » anticipe (leur) venue au banquet !

Bonjour,

Quelle ne fut pas ma surprise ce lundi 27 novembre, quand je suis allé voir si j’avais du courrier. J’ai trouvé une lettre (jusque-là rien d’anormal !) d’un copain d’Alembert, pourtant « informatisé ». Diantre, que peut-il y avoir de si important, me dis-je, pour que ce couple, que nous appellerons « Mon Gaston » m’envoie une missive papier ?

Quand j’ai ouvert le pli de « Mon Gaston », bien cacheté, le cachet de la Poste faisant foi, c’est la stupéfaction, l’ahurissement, la fascination, le subliminal, le paranormal, l’impensable ! Fichtre, mais qu’est-ce qui peut bien me mettre dans un état second, en découvrant le contenu de la correspondance de « Mon Gaston » ? Je vous le donne en 100, non en 1.000, enfin en 120 !

Il y avait dedans un chèque de 120 € rédigé à mon ordre, avec un post-it indiquant « Bon pour 2 places au banquet 2018… L’hébergement est réservé à Moux ». Non, vous ne rêvez pas, « Mon Gaston » m’a envoyé son chèque de réservation pour le banquet 8 mois à l’avance, du jamais vu ! Certes, je sais pour bien les connaître, que chez « Mon Gaston » ils sont organisés et prévoyant, mais à ce point, j’avoue que c’est à inscrire dans les annales de la longue vie de notre « vieille Dame » !

Mais voilà, « Mon Gaston » a anticipé, peut-être un peu trop ! Je veux dire par là ou par ici (c’est selon vos envies !) que je me trouve confus, car « Mon Gaston » me met dans l’embarras… Certes, le fait que le chèque soit envoyé 8 mois à l’avance, ce n’est pas un problème en soi, mais je vais être dans l’obligation, dans quelques mois, de l’encaisser et d’en refaire un autre du même montant. What ? Pourquoi ? Tout simplement, parce que dans le mode opératoire que nous avons mis en place pour l’organisation du banquet, j’ai décidé (avec l’aval des autres organisateurs) que la trésorerie (avec l’application informatique dédiée) soit déléguée à un autre couple d’Alembertins (en qui nous avons toute confiance) que Marie-Thé et moi.

C’est donc à leur nom (vous le saurez quand le « 4 pages » sera édité) qu’il vous faudra libeller votre chèque de participation au prochain banquet du Morvan. N’ayez crainte, je sais que ce couple saura gérer vos deniers au plus près de nos intérêts. Je connais leur probité, en cas de déficit (improbable), il se fera fort de combler le « trou » sur ses fonds propres, à l’euro près !!! Je ne crains pas, ou à alors à l’insu de son plein gré, qu’il prenne l’envie à nos deux tourtereaux de prendre la poudre d’escampette et qu’ils s’envolent pour aller poser leurs valises vers un « paradis fiscal ». Auquel cas, avec votre aval, j’engagerai Interpol et le FBI pour les retrouver au plus vite, afin de leur faire « rendre gorge » devant vous tous !

Merci à vous « Mon Gaston », je confirme que vous êtes, et de loin, les premiers inscrits sur la liste d’engagement au 49e banquet du Morvan. Vous savez ce qu’il en coûte au premier inscrit, non ? C’est tournée générale à l’aréopage le jour du banquet, ce sont les us et coutumes, vous n’y couperez pas !!!

Confraternellement à « Mon Gaston » et à tous les Alembertin(e)s

Guylem Gohory

CHEQUE BANQUET MORVAN 2018 BON POUR 2 PLACES AU BANQUET 2018

 

 

Déjeuner de Noël avec l’AEPAPE Atout Cœur

Bonjour,

Je vous joins, à titre informatif, le « quatre pages » relatif au traditionnel repas de Noël, organisé par l’AEPAPE et sa présidente Danielle Weber. Comme vous pouvez le lire, point besoin d’être adhérent pour participer à ce rendez-vous de la SOLIDARITÉ. Certes, le prix n’est pas le même pour les adhérents que les non-adhérents… C’est l’occasion pour adhérer, puisque le montant de la cotisation n’est « que » de 15 € !

Je sais, par avance, qu’il devrait y avoir quelques Alembertins, notamment Richard Balac, Jean Scherrer, Bernard Renault et, sans doute, quelques autres. Avec Marie-Thé, je vais voir si nous ne pouvons pas faire l’aller-retour depuis Orcines (suivant les conditions météorologiques du moment), afin de pouvoir honorer de notre présence ce traditionnel grand rendez-vous fraternel !

Confraternellement aux amis de l’AEPAPE et à la fratrie alembertine.

Guylem Gohory 

INVITATION - 1 INVITATION - 2

« Des nouvelles de »… Noëlle et André

Bonjour les amis,

Dans la rubrique « Des nouvelles de… » que notre Président nous fait partager avec joie, je viens par la même occasion compléter ses commentaires en vous donnant des nouvelles de notre amie Gisèle IRATZOQUY, veuve d’André notre copain décédé en 2014.

Profitant de notre séjour dans l’Allier chez la sœur à Noëlle (à Diou précisément) nous en avons profité pour faire le tour des cimetières pour honorer nos défunts.

Après un passage au cimetière de Corancy où reposent mes parents nourriciers et mon frangin nous avons pris la direction de Montigny-en-Morvan afin de nous recueillir sur la tombe d’André et déposé par la même occasion un modeste bouquet. Nous avons eu du mal à pouvoir placer ces quelques fleurs tellement la tombe de notre ami était recouverte d’une multitude de pots et de plaques. Cela réconforte quelque peu, on voit que notre copain n’est pas oublié bien au contraire.

Après ce petit moment de recueillement, direction Vaux où nous retrouvons notre amie Gisèle (nous l’avions prévenue de notre visite auparavant pour lui faire un petit « coucou »). Bien sûr elle avait préparé le repas de midi malgré notre recommandation de ne rien faire de particulier, nous venions juste lui faire une petite visite. Mais vous connaissez le sens de l’hospitalité de tous les amis et amies de notre association et il fallut rester manger, ce que nous avons accepté avec joie afin de partager ces moments de convivialité entre nous.

Avec Gisèle nous avons évoqué le passé et les bons moments partagés avec André. Elle reste en contact avec nous tous car elle consulte le site assez souvent, son seul regret, elle ne peut voir les photos, car elle ne peut les ouvrir. Peut-être le secours de notre Président pourra la dépanner sur ce point…

C’est vers 17 heures que nous prenons congé de Gisèle en promettant de nous retrouver au plus vite.

Pour le Banquet nous pensons être présents si la santé nous le permet, car en ce moment ce n’est pas la joie pour ma pomme.

La bise à vous de nous deux.

Dédé et Noëlle Germain

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Le 49e banquet du Morvan pose ses valises à Chissey

Bonjour,

Il suffisait d’attendre avant que la bobinette ne cherrât… Cette formule liminaire pour vous attester que notre 49e banquet du Morvan aura lieu… dans le Morvan, à quelque 10 km d’Alligny-en-Morvan, commune qui n’a plus aucun secret pour la plupart d’entre vous.
CHISSEY : CAPITALE DU BANQUET DU MORVAN ET DES ALEMBERTINS

Notre incontournable rendez-vous morvandiau, le 49e du nom, aura lieu le SAMEDI 21 JUILLET 2018, sur la commune de CHISSEY-EN-MORVAN, une « métropole » de 285 âmes, située au nord de la Saône-et-Loire, à proximité de la Côte-d’Or et de la Nièvre, dans le Parc naturel du Morvan.

Désormais, vous pouvez être rassérénés, le 49e banquet du Morvan est sur les rails. Plus rien ne pourra arrêter le tacot morvandiau, jusqu’à son arrivée en gare de Chissey (même si la gare n’existe plus), le vendredi 20 juillet au soir et ce jusqu’au terminus, le dimanche 22 juillet, en milieu d’après-midi.

Que ne vous soyez pas encore ou plus adhérents à l’association, vous êtes les bienvenus pour participer à notre grand rendez-vous étésien, nous serons heureux d’accueillir un maximum de monde, la salle pouvant contenir 300 personnes, nous avons le devoir absolu de la remplir, la condition sine qua non pour qu’elle nous soit offerte !!!

LE PRIX DU BANQUET INCHANGÉ EN 2018 ET… 2019

Selon l’adage on ne change pas une équipe qui gagne ! Nous, on ne change pas le prix du banquet, on continue à le maintenir au même prix depuis… 2008. À cet égard, il vous en coûtera (par personne) 45 € pour la journée et 15 € pour la soirée, soit 60 € pour celles et ceux qui resteront à faire la « teuf jusqu’au bout de la nuit ».

LE 50e BANQUET EN LIGNE DE MIRE

L’organisation du 49e banquet derrière nous ou presque, il nous faut penser à la 50e édition. Certes, nous avons encore du temps devant nous. Un demi-siècle, ça impose le respect, nous nous devons de fêter l’événement comme il se doit. Nous devons y apporter encore plus d’attention et y ajouter la « petite touche personnelle » qui sied à son « altesse sérénissime morvandelle », afin que cette journée soit féerique ! Si vous avez des idées, n’hésitez pas à nous en faire part.

Nous y pensons depuis déjà un certain temps, c’est même gravé dans le marbre. Naturellement, pas question de déflorer quoi que ce soit, d’autant plus que rien n’est encore prévu. Je pense, notamment, À TOUS LES COPAINS qui n’aspirent plus forcément participer — ou moins souvent — à notre rendez-vous, qu’ils feront, exceptionnellement, un petit effort pour être présents parmi nous. Selon nos possibilités, bien évidemment, nous nous devons d’honorer notre « quinqua morvandiau ». N’oublions pas, il nous faudra patienter 50 ans pour fêter la CENTIÈME ÉDITION, où gageons, une fois encore, que nous serons « très très très » nombreux pour fêter l’événement !

Confraternellement à toutes et tous.

Guylem Gohory

À la demande générale, nous reconduirons une grande tombola en 2018.

CHISSEY 1 CHISSEY

Une « sacrée soirée » chez Pierrot et Mireille

Bonjour,

Ce vendredi soir, lendemain de la sortie du « beaujolpif » nouveau, sans saveur et soi-disant aux fragrances de banane (comme si les bananiers poussaient dans les vignes !), avec Marie-Thé nous avons fait une sortie au goût très prononcé d’amitié alembertine.

En effet, la dernière fois que nous sommes allés, avec notre « chtiote » Nahia, voir la Puce et sa moitié, la douce Mimi, nous avions convenu de nous retrouver après notre retour des cérémonies du 11 novembre, pour dîner ensemble dans leur demeure qui surplombe le lac d’Aydat, à quelque 950 m d’altitude. Quand nous sommes arrivés il restait quelques névés devant la porte de garage, une évidence que la neige avait fait son apparition ces jours derniers chez nos amis.

En fait, nous n’étions pas quatre, puisque le fiston de la Puce était présent et il a partagé ses quelques instants en notre compagnie. Certes, nous avons dû le lasser avec nos histoires d’adolescents du côté de Montévrain, mais il a bien participé lui aussi.

Nous avons abordé les très bons, les bons et les mauvais moments, nous avons parlé des copains, dont la Puce, m’a dit suivre avec acuité la vie des uns et des autres, au travers les « Nouvelles de… », bonnes ou moins bonnes, elles aussi.

Le genou de « Mimi » va beaucoup mieux, même si elle n’est pas encore tout à fait rétablie à 100 %. Néanmoins elle espère reprendre bientôt ses activités professionnelles et privées, notamment sportives. Nous avons évoqué l’ami Éric Chéron, le Toulousain, dont la Puce tout comme moi, n’avons plus aucune nouvelle. Dans ma quête de mes « appels à un ami » je vais donc lui téléphoner rapidement pour savoir ce qu’il devient, en espérant que tout va bien. Je ne pense pas qu’il soit à la retraite, puisqu’il m’avait confié qu’il n’était pressé de s’arrêter de travailler.

Nous avons évoqué Jean-Claude et certains autres copains qui connaissent des ennuis de santé, eux aussi. « Mimi » et la Puce m’ont confié avoir été à Châteauroux, voici quelques semaines, pour fêter les soixante ans de l’ami Serge Steinmann qui, lui, a pris sa retraite le jour de la sortie du beaujolais nouveau. Je vais appeler le tout nouveau retraité pour savoir s’il ne regrette pas de s’être arrêté si « jeune » ! La Puce m’a attesté que, l’an prochain, la famille Steinmann avait déjà donné son accord pour venir au banquet du Morvan, tout comme la Puce et « Mimi », qui vont réserver leur hébergement avec Serge, ces prochains jours.

Nous avons passé une excellente soirée en leur compagnie (pléonasme !), d’autant plus que la Puce, dit « Pierrot le robot », pour les intimes, il parle, en ayant toujours, comme quand il était jeune, le bon mot, avec cet esprit « taquin », qui le caractérise, ce qui est super !

Ma chère « Mimi », mon cher la Puce et à ton fils, merci pour cette « sacrée soirée ! », on vous embrasse.

Confraternellement à toutes et tous.

Guylem Gohory

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Photo de famillle à Aydat                                   La Puce tient dans ses mains la lettre (en bois) G 

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Tous les « gars du livre » auront reconnu, au fond,
la fameuse casse typographique qui contenait
toutes les lettres, chiffres et signes nécessaires
à la composition des textes

Visite alembertine chez la famille Bouchet

Bonjour,

Profitant de mon escale de courte durée à Gurgy avant de regagner la capitale auvergnate quelques heures plus tard, j’ai proposé à Dominique et Chantal Bur de nous accompagner en début d’après-midi de ce dimanche 12 novembre, maussade et frisquet, pour aller rendre une petite visite de courtoisie à un couple d’Alembertins.

Nous avons pris la direction de Migennes, avant de nous retrouver, une demi-heure plus tard, au 11 C, avenue de la Gare, à Saint-Julien-du-Sault (89), devant le portail de la famille Thérèse et Jean-Louis Bouchet. Jean-Louis est un ancien typographe de la promotion 1955-1959 (celle des Cazalis, Forget, Laurent, Le Mesnager, Warlaumont), de l’agence de Lormes, puis celle d’Avallon (tiens, tiens !). Jean-Louis et Thérèse ont été agréablement surpris de nous voir franchir le seuil de leur demeure bourguignonne.

Je suis content, car avec Jean-Louis au début cela a été compliqué de le remettre dans le jeu. Je ne vais pas vous refaire l’histoire, mais ils ont connu un grand malheur, voici quelques années, qui les a anéantis et, tout naturellement, éloignés de notre association. J’ai repris contact avec lui deux ans après pour prendre de ses nouvelles et le convaincre de venir au banquet.

Cela n’a pas été simple mais, hormis les mots, le fait que nous soyons tous les deux de Lormes ou ses environs et que nous avons connu les mêmes personnes, a servi de catalyseur pour que Jean-Louis « s’ouvre » à moi et accepte de renouer le contact et, surtout, venir au banquet, depuis trois ans déjà. Depuis il est resté fidèle, il ne manquerait pour rien au monde notre rendez-vous étésien. L’an dernier, pour le 11 novembre, quand je l’ai sollicité pour l’inauguration de la plaque, il m’a dit OUI de suite, sans hésiter, pour être des nôtres. Je l’appelle de temps à autre, comme tout un chacun, afin de ne pas perdre le fil. Quand je l’avais appelé pour le banquet d’Alligny, je lui avais promis de passer le voir avant la fin de cette année, c’est maintenant chose faite.

Jean-Louis, qui semble toujours sur la réserve, quand il est en confiance, se livre facilement et n’est pas le dernier à raconter des anecdotes et autres galéjades. Jean-Louis a fait toute sa carrière professionnelle en région parisienne. Après avoir écumé plusieurs petites « taules » pour se faire la main, le 1er février 1972, il est entré par la grande porte chez Bayart, une entreprise, à l’époque, de 1.100 salariés, qu’il quittera en qualité de conducteur rotative, au printemps 1999, à la suite d’un plan social, en fait une préretraite bienvenue pour l’ami Jean-Louis, qui a vendu son pavillon d’Arcueil pour acheter celui de Saint-Julien-du-Sault, puisque Thérèse est originaire de la région.

Nous avons bien discuté, durant plus deux heures, avec la famille Bouchet, franchement enchantée de la visite de deux « jeunes » couples alembertins. Nous avons évoqué les copains, notamment Claude Stalin, puisque Jean-Louis, à un moment donné, a été élevé dans la même maison nourricière de Marigny-l’Eglise (58) que notre arbalétrier préféré, comme quoi ! Jean-Louis m’a conté une anecdote sur un « certain » Jean Rouckert, typographe de son état, qui n’est autre que mon frère nourricier, lui qui a été élevé à la Beurnotte, quelque seize années avant moi.

Nous avons invoqué le banquet de cette année et, indubitablement, celui de l’an prochain, le 49e du nom. Dans un même élan du cœur, Thérèse et Jean-Louis ont pris bonne note et nous ont indiqué que d’ores et déjà, sauf événement fortuit et indépendant de leur volonté, ils seront bien présents avec nous autres en juillet 2018.

Voilà les amis, après Jean Schramm, Michel Parra, Léonard Léonetti, Patrick Brunet, c’était au tour de la fratrie Bouchet de nous recevoir pour un petit instant de convivialité partagé. La boucle est bouclée, pardonnez-moi cette expression rebattue, puisque tous les Alembertins des environs d’Auxerre nous ont reçus au moins une fois.

Néanmoins, il reste encore un ami qui, certes, n’est pas Alembertin, mais chez qui j’ai promis de « m’inviter ». Il s’agit de Désiré Pointu, le président de l’association des anciens de Le Nôtre, que j’ai appelé hier matin, mais qui était absent tout le dimanche. Il m’a rappelé dans la soirée et m’a fait promettre de nous rencontrer chez lui, à Monéteau, la prochaine fois que je viendrai dans les environs. Cerise sur la tranche de cake, je « fais découvrir » les familles alembertines dans leur intimité au couple Bur, ce qui n’est pas fait pour leur déplaire, puisqu’il semble y prendre goût. Quand nous saluons ces familles, Chantal et Dominique ont la gentillesse de les inviter à venir à Gurgy, leur lieu de résidence, véritable havre de paix, où l’on respire la joie de vivre.

Confraternellement à toutes les familles alembertines de France et de Navarre.

Guylem Gohory

JEAN-LOUIS BOUCHE (1) JEAN-LOUIS BOUCHE (3) JEAN-LOUIS BOUCHE (4) JEAN-LOUIS BOUCHE (5) PROMO 55-59, LIVRE

Le 11 novembre 2017 en images !

Bonjour,

 Afin de ne pas vous faire patienter trop longtemps, avant le « poids des mots », je vous envoie un petit album (« le choc des photos ») de notre rendez-vous du 11 novembre, à d’Alembert, dans le cadre des cérémonies commémoratives.

 Pour beaucoup, vous allez découvrir un « petit nouveau », en la personne de Michel GOUDIER (il pose seul devant la plaque) qui nous a fait le plaisir de se joindre à nous pour la première fois. Merci à sa fille et son gendre d’avoir eu la gentillesse de conduite papa et beau-papa ! Sa fille ma laissé entendre qu’elle serait d’accord pour accompagner Michel afin qu’il puisse assister à notre prochain banquet du Morvan. Vous trouverez une photo intrusive en noir et blanc qui agrémente ce petit album… Je ne vous dis pas son nom, car je suis quasiment certain que vous allez tous reconnaître ce jeune et bel éphèbe de l’époque… Un indice, il était présent hier, mais évidemment il a quelque peu changé – si peu – de physionomie… Mais il est encore beau comme le dirait le renard !

 Bon visionnage, en attendant vos commentaires !

 Confraternellement.

 Guylem Gohory
11 novembre 2017 – Alembert

Hommage alembertin sur la sépulture de Christian Aubier

Bonjour,

Ce vendredi, profitant, si j’ose m’exprimer ainsi en la circonstance, de notre « montée » à d’Alembert, via Gurgy, nous avons fait un petit crochet par le cimetière de Saint-Martin-du-Puy, sous la pluie et un brouillard à « couper au couteau ». Nous sommes allés, avec Marie-Thé, au nom de l’association des anciens d’Alembert, déposer la plaque du souvenir alembertin sur la tombe de notre « frère », ancien président de la Mutuelle, dans les années soixante-dix, feu le regretté Christian Aubier, décédé à l’âge de 90 ans.

Naturellement, j’avais pris soin, hier, d’appeler Louisette, sa veuve, qui demeure désormais à Agen aux côtés de sa fille et de sa petite famille, pour lui signifier que nous irions déposer cette plaque à la veille du 11 novembre. Louisette était heureuse, mais surtout très émue, quand je lui ai annoncé. Je vous en dirai plus, sur les prochaines « Nouvelles d’Alembert« , ce qui ne devrait pas trop tarder. Pour Louisette, hormis la perte d’un être cher, ce n’est pas un long fleuve tranquille, cela semble plus compliqué que je ne l’avais imaginé. Elle semble galérer, le vocable n’est pas inapproprié, doux euphémisme. Léo et Alex, s’ils lisent cet article, comprendront ce que je veux dire !

Je n’ai pas choisi tout à fait au hasard cette date pour aller nous recueillir et déposer la plaque d’Alembert, puisque nous sommes à la veille du 11 novembre. Pourquoi me direz-vous donc ? Tout simplement, je vous l’avais signalé sur le petit hommage consacré à Christian, notre ami en plus d’être une altruiste personne, qui a fait une brillante carrière professionnelle, était un homme engagé et dévoué à la cause de son pays. Alors qu’il n’avait que 16 ans, en 1943, il n’a pas hésité une seule seconde à « déserter » l’école d’Alembert pour s’en aller rejoindre le Maquis Camille, dans les bois de Lormes et du Morvan, afin de participer à la défense de la patrie, au péril de sa vie. Toute cette bravoure et cet héroïsme, alors qu’il aurait pu tranquillement rester au chaud, à d’Alembert. C’est donc un double hommage que j’ai tenu, avec Marie-Thé, en votre nom, à rendre à notre ami, un jeune héros de la Résistance, un homme de convictions.

Ma chère Louisette, puisque je sais que tu suis assidûment l’actualité alembertine via le site, je me permets de te saluer et de t’exprimer que tu peux compter sur notre soutien, nous ne te laisserons pas tomber, notamment si tu rencontres des problèmes à l’avenir.

Confraternellement à toutes et tous.

Guylem Gohory (président des anciens d’Alembert)

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Nos amis de Le Nôtre en assemblée générale

En tant que membres honoraires et bienfaiteurs de l’association nous avons participé Noëlle et moi à leur traditionnelle Assemblée Générale ; cette dernière se déroulait le 7 octobre 2017 à la Bussière, charmant petit village du Loiret. Avec mon épouse nous tenons à cette manifestation étant sociétaire depuis des années comme nos camarades André AURIOL et Francis FIDELAINE. L’Ecole Le Nôtre n’est-elle pas notre petite sœur de cœur, conservons cette amitié et le lien qui nous unit le plus longtemps possible.

Vendredi 6 octobre, 16 heures nous quittons Pontcarré pour rejoindre l’hôtel restaurant « Le Nuage » à la Bussière. A notre arrivée vers 18 heures nous sommes accueillis par la patronne de l’Etablissement qui nous remet les clés de notre chambre. Confort, calme et cadre agréable nous promet de passer un agréable séjour. Nous retrouvons les Frères Geslin et leurs épouses, nous sommes en pays de connaissance puisque nous avions déjà côtoyé ces sympathiques personnages lors de l’A.G. 2015 à Vire. Ces deux couples résident dans l’Allier (l’un habite à Lurcy Levis et connaît bien notre ami François Laraize, ancien éducateur à l’Ecole d’Alembert, que certains d’entre nous ont côtoyé dans leur jeunesse, l’autre couple réside à Yzeure.

Après une petite balade au cœur du village nous nous retrouvons pour un copieux repas servi avec sourire et gentillesse par le patron de l’Hôtel. Les conversations vont bon train et à 22 heures nous regagnons nos chambres pour un repos bien mérité car la journée du lendemain s’annonce chargée.

Samedi 8 octobre, 8 h 30 arrivée en  fanfare des sociétaires pour participer à la fête, nous retrouvons notre Président Désiré Pointu, André Prévert, Jean-Pierre Lefevre, les membres du Conseil d’Administration et bien d’autres amis ; un seul regret l’absence de Marcel Berthelot Vice-Président délégué, personne que j’estime beaucoup et que je connais bien ayant travaillé des années avec sa collaboration pour la confection de leur bulletin, lorsque ce dernier était fabriqué à l’école d’Alembert.

Après une Assemblée Générale studieuse et appliquée mais dans une ambiance bonne enfant, nous repartons tous en direction de Briare pour un déjeuner péniche sur le Canal du même nom. Une seule ombre au tableau lors de ce déjeuner nous devions faire une petite balade sur le Canal, mais cette dernière a été annulée au dernier moment ; oh, la péniche prenait pas l’eau nenni, le capitaine n’était pas absent point du tout, mais tout simplement un arrêt préfectoral, interdisant toute navigation sur le Canal pendant tout le week-end, afin de permettre à la Comtesse X… de profiter à son aise de tout le plan d’eau pour faire de la régate.

Evidemment grosse déception pour nous tous et désolation pour les propriétaires de la péniche qui ont été de ce fait pénalisés sur le plan financier. Enfin un excellent repas nous a fait un peu oublier ce désagrément. Après une petite balade digestive sur un des plus beaux ponts du Canal enjambant l’ancien canal, le nouveau et la Loire nous rejoignons le Château de la Bussière que nous découvrons lors de la visite de ce dernier et ses jardins (potager, verger et fleurs au programme) et régal pour les yeux.

Retour à 19 heures à notre Q.G. « Le Nuage » où la soirée s’annonce « chaude » ; repas dansant au programme et qui retrouvons nous ? l’ami Jean Denis à l’accordéon, au saxo, au synthétiseur, homme orchestre à lui seul. (Vous l’aviez reconnu et oui, c’est ce dernier qui animait notre banquet à Alligny-en-Morvan). Avec le talent de chanteur de Désiré, pas de temps mort, la soirée se déroule dans une bonne ambiance entrecoupée par la traditionnelle tombola pas de perdant, tous gagnants. Hélas tout à une fin et à 1 heure du matin s’éteignent les flonflons peu à peu et nous partons dans nos logis pour passer une bonne nuit après cette journée riche en émotion.

Dimanche 8 mai, un copieux petit déjeuner nous remet en forme, pas de gueule de bois mais un soupçon de fatigue se lit sur les visages et aussi un peu de tristesse car le moment des adieux approche.

9 h 30 départ pour la famille Germain direction Pontcarré en se promettant de se revoir l’an prochain pour l’A.G. 2018. Bonsoir mes amis de Le Nôtre et mille mercis pour votre accueil, votre gentillesse et votre amitié, mon épouse partageant ces remerciements.

André GERMAIN

AG LE NOTRE

 

Un savoureux week-end dans le Morvan

Bonjour à tous,

Samedi l’Hôtel « BEAU SITE » de Moux accueillait le banquet des Amis du Musée d’Alligny. En tant que membre de l’Association j’avais répondu présent. De ce fait Madeleine et moi débarquions à midi pile au bas des marches de ce bel établissement pour nous fondre dans la foule des nombreux participants.

Partis de Montluçon à 8 h 30 et un trajet sans histoire nous avons abordé la forêt Morvandelle après avoir quitté Château-Chinon, là, un spectacle extraordinaire nous attendait. Une féerie de couleurs s’étalait sous nos regards ébahis, l’automne avait bien fait les choses, chaque essence d’arbre avait revêtu ses plus beaux atours pour nous proposer cette profusion de tons chatoyants et faire de cette saison une des plus belles de l’année. Après cela il est permis d’affirmer que le Morvan est vraiment une région magnifique.

Après le petit discours de bienvenue de Madame Martine Chalandre, Présidente de l’Association, nous avons pu déguster le menu du terroir clos par une magnifique et délicieuse omelette norvégienne qui comme son nom l’indique n’est pas de chez nous.

Contrastant avec les banquets Alembertins tout s’est déroulé dans le calme, pas de chants, pas de retrouvailles bruyantes, simplement la joie de se revoir et de papoter gentiment pour l’ensemble des participants.

Voilà une bien belle Association où figurent de nombreux ex-Pupilles qui n’ont pas eu, comme nous, la chance de fréquenter d’Alembert mais qui, pour certains, peuvent se targuer de très belles réussites professionnelles. Nous pourrions entretenir des rapports suivis accompagnés d’échanges fructueux, instructifs dans le respect des droits et prérogatives de chacun. Alors, Alembertins, n’hésitez pas à adhérer, la cotisation est MODIQUE, L’ŒUVRE IMPORTANTE…

Amitiés Alembertines.

Georges LAZ 

 

MADELEINE ET GEORGES LE BEAU SITE 1 LE BEAU SITE 2 LE BEAU SITE