Le « gars du 63 » vous remercie sincèrement !

Bonjour,

En ce matin du 24 octobre, je me suis levé avec une drôle d’impression, j’étais un peu « chose » comme dans le « Petit Chose », d’Alphonse Daudet… Pourquoi donc, me direz-vous ? « Rassurez-vous, tout va très bien Madame la marquise, tout va très bien, on déplore juste un petit rien »…

En fait, en ce 24 octobre, en cinq-sept, une fois sur mon 31, moi le « gars du 63 », j’ai enfourché mon cheval de Troie, une vieille Rossinante, qui traîne sa misère jusqu’au 36e dessous… Il s’agissait pour moi, en moins de deux, en ce 24 brumaire, de recueillir 1954 piastres pour faire bombance avec les damoiseaux et damoiselles du 15-13, une taverne du 63, ouverte 24 sur 24, afin de partager un petit 5 à 7, en tout bien tout honneur !

Voilà mes « bonnes gens », vous saurez tout ou presque sur ce mardi 24 octobre 2017, une journée particulière d’automne, où j’ai eu la chance de prendre un printemps de plus, moi le « gars du 63 » qui, après avoir soufflé 63 bougies, n’a vu que 36 chandelles !

Cette petite narration « sans queue ni tête » pour vous REMERCIER TOUTES ET TOUS, mes ami(e)s pour vos très nombreux courriels, SMS, cartes et autres appels téléphoniques pour me souhaiter un joyeux anniversaire, que du bonheur. Je profite de cette tribune pour vous remercier collégialement, vous vous reconnaîtrez aisément. Par convenance personnelle, je me suis résolu à ce que tous ces témoignages restassent à tout jamais du domaine de la sphère privée, la raison pour laquelle je n’ai relayé aucun de ces chaleureux messages sur le site. Vous me pardonnerez cette autocensure bien légitime en cette belle journée du 24 octobre.

Marie-Thé se joint à moi pour vous remercier chaleureusement pour vos témoignages qui font chaud au cœur, vous pouvez nous croire !

Confraternellement à toute la fratrie d’Alembert.

Guylem Gohory (le « gars du 63 »)

PS : Ces prochaines heures, comme vous l’avez sollicité, vous aurez, sur vos boîtes mails, la synthèse de toutes vos réponses corrélatives à « l’affaire », dont vous connaissez le contexte, et qui vous a interpellé, c’est le moins que l’on puisse dire.

MERCI 1    MERCI

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *