Nouvelles des d’Alembert

Bonjour les Amis,

Cette rubrique est la vôtre : vous pourrez communiquer à tout moment entre vous, nous faire part de nouvelles de la vie des copains d’Alembert ! Laisser des messages d’ordre pratique ou informel, etc.

A titre d’exemple, la semaine dernière, en compagnie de Jean-Claude CORMIER, lors de notre séjour au Pays Basque, nous avons rendu visite à cinq anciens copains. Malheureusement, Hervé FOUQUIER, (69-73), section ébénisterie, est hospitalisé au centre de Combo-les-Bains, proche d’Espelette. A contrario, nous avons enregistré, avec bonheur, l’adhésion d’Emile (Milou) CHARTIER (59-63), section typographie, au sein de notre association…  Bienvenue au club Milou !

Vous pouvez en user et en abuser, c’est même fait pour ça, alors les copains faites chauffer claviers et souris.

Amitiés alembertines à toutes et à tous !

Guylem GOHORY (président de l’Association)

399 réflexions sur « Nouvelles des d’Alembert »

  1. Bonjour à tous,

    J’enregistre avec plaisir deux nouveaux accords à ma suggestion pour le banquet 2018, c’est assez peu en fait.

    Richard Rosso pose la question de savoir qui se chargerait de l’organisation à Alligny – mystère, mystère – ou de la mise sur pied dans une autre localité.

    Le Président, contrairement aux autres années, n’a pas lancé d’appel à volontaires. Que nous réserve-t-il ? Le temps passe inexorablement, obtenir une salle n’est pas chose aisée, de même que s’assurer les services d’un traiteur.. Alors il faut sortir du silence pesant que l’on connait, dévoiler ses intentions, prendre la chose à bras le corps.

    L’heure est venue de dévoiler vos batteries, Monsieur le Président.

    Courage…

    Amitiés Alembertines.

  2. À MES AMIS « LA PUCE » ET MIREILLE !

    Bonjour à vous deux,

    Bon courage Mireille pour ta remise en forme après ton opération. Sache que mon épouse a été opérée des 2 genoux, et aussi à la Chataigneraie, et que tout s’est bien passé. Tu l’as vue l’an dernier, et elle seule conduit.

    « Une chose m’embête un peu, c’est que au lieu de recevoir un coup de canne, j’en aurai 2, ouille » quand on se reverra.

    Grosses bises à vous deux.

  3. MAIS OU SONT DONC PASSÉS DANIELLE ET BERNARD LANDAIS ?

    Certes, pas question pour moi de jouer les Cassandre, mais avouez qu’il y a de quoi être troublé. Voilà près de trois semaines, j’ai fait le déplacement tout exprès au Vieux-Dun, sur la commune de Dun-les-Places (Nièvre) pour rembourser le couple Landais du montant du prix du banquet, puisqu’au dernier moment ils ont dû déclarer forfait.

    J’ai trouvé porte close, mais la fenêtre de la cuisine était entrouverte, la porte de la grange et du jardin n’étaient pas fermées, alors j’ai spéculé qu’ils n’étaient pas bien loin. J’ai patienté un certain laps de temps, mais comme il était plus de 12 heures, j’ai décidé de déposer le chèque dans leur boîte aux lettres.

    Depuis tout ce temps, rien, nib, nada, que chique, des nèfles, la famille est aux abonnés absents. J’ai vérifié sur mon compte en banque, le chèque n’a pas encore été encaissé, ce qui est bizarre. J’ai appelé à maintes reprises, sans succès. Par contre, je me demande si le téléphone sur le bulletin est le bon, car à la cinquième sonnerie, c’est un bruit de fax qui se déclenche ! J’ai appelé deux voisins, mais vous comprendrez que c’est difficile pour eux de se confier, car ils ne savent qui est à l’autre bout du combiné, ils sont méfiants, car je « pourrais être une personne malveillante et malintentionnée » pour mes interlocuteurs morvandiaux, c’est compréhensible.

    Je vais attendre encore un peu et si je n’arrive pas à avoir de nouvelles, je me verrai dans l’obligation de prendre ma « totomobile Amédée Gordini » pour me retourner in situ afin de m’enquérir de cette énigme, en espérant pouvoir en démêler l’écheveau. Si, parmi vous, il se trouve une personne qui peut m’en dire un peu plus, merci de me prévenir rapidement.

    En attendant, comme l’expriment nos amis anglo-saxons : « Wait and see ! ».

  4. Bonjour à tous,

    Quelques jours après notre banquet, j’ai émis une suggestion, à savoir que nous pourrions, devant l’absence de candidatures, refaire notre banquet à Alligny. Je sollicitais l’avis de la majorité silencieuse, trois ou quatre réponses… favorables. Cela se passe de commentaires !!!

    Résultat des courses : rien n’est envisagé, du moins ouvertement. Silence présidentiel, silence du bureau, silence quasi général des ouailles, c’en est désolant !

    Nous allons nous retrouver comme les années précédentes et il va falloir que le Président joue les pompiers de service pour mettre sur pied une manifestation qui tienne debout – il faut reconnaître que ce n’est pas pour lui déplaire, même si Marie-Thé menace de divorcer, il la connaît bien et sait qu’elle n’en fera rien. Mais, il serait peut-être temps de se bouger le cul, de penser à la salle, au traiteur, etc, etc…

    Et puis ma proposition de revenir à Alligny n’est peut-être pas aussi stupide que cela ? Alors bougez-vous, que diantre, dites quelque chose, pour une fois.

    À plus. Amitiés Alembertines !

  5. MIREILLE « LA PUCE » A COMMENCÉ SA RÉÉDUCATION

    « Mimi », l’épouse de notre copain « La Puce », comme vous le savez, a subi une opération du genou à la clinique de la Châtaigneraie, à Beaumont, là où elle travaille, le 16 août. Tout s’est bien déroulé, l’acte chirurgical a parfaitement été maîtrisé dans cette clinique réputée pour ce genre d’intervention, « Mimi » s’est réveillée avec un genou tout neuf, une prothèse dernier cri.

    Ce mercredi 22 août après-midi, profitant de la canicule, avec Marie-Thé et notre « chtite » Nahia, en « colo » à Montrodeix, nous avons pris la direction d’Aydat, où nous avons fait un petit détour pour rendre visite à la « Puce » et « Mimi ». Effectivement, l’opération ne semble plus être qu’un mauvais souvenir, enfin presque, puisqu’il reste des cicatrices bien présentes sur le genou et les deux béquilles sont là pour rappeler que c’est encore « tout frais ». Cependant, une semaine après cette intervention, « Mimi », très impatiente, remarche déjà, peut-être un peu plus qu’il ne le faudrait !

    Elle est comme la « Puce », on sent chez elle cette envie d’accélérer le cours des choses, toujours « plus vite, plus haut, plus fort ». Nonobstant, le moral semble être au beau fixe, « Mimi » devrait rapidement, avant la fin de l’année, pouvoir reprendre ses longues balades bucoliques autour des monts et des lacs d’Auvergne.

    Notre visite a enchanté le couple, tout comme nous. De plus, j’ai fait ma BA, puisque la « Puce » n’arrivait pas à visionner les photos du banquet sur son ordinateur et sa tablette, ce qui le rendait « triste ». Après mon passage, tout est rentré dans l’ordre, avec « Mimi » ils auront tout le loisir de pouvoir visionner l’album, à tout moment et sans plus aucun problème. Avant de partir, la « Puce » nous a donné un nichoir pour les mésanges bleues, que j’ai offert à notre petite Nahia pour qu’elle puisse l’installer dans le jardin de ses parents.

    À bientôt ma chère « Mimi » et mon cher la « Puce », amitiés à vous deux.

  6. De la même promotion, Pierre François complète la liste de tous ces Alembertins. Pierrot et Josiane adressent à toutes et tous leurs pensées amicales.

  7. MADAME MUND NOUS A QUITTÉS

    L’épouse d’Alain Mund (agence de Château-Chinon, promotion 1946-1950, livre) vient de s’éteindre, à Luisant, dans l’Eure-et-Loire, à l’âge de 84 ans. Madame Mund, hélas, souffrait depuis déjà cinq ans d’une maladie très invalidante. À ce titre, depuis tout ce temps, elle résidait dans une maison médicalisée et spécialisée pour ce genre « d’affection ».

    Alain est de la même promotion que Camille Consalvo, Robert Raymond, Guy Doisne, Georges Henry, Jacques Tiriou et Henri Wiszniak, une promotion encore bien représentée, même si, hélas, nous ne voyons plus la plupart de ces copains lors de nos rendez-vous.

    Le rendez-vous pour les funérailles est fixé le MERCREDI 23 AOÛT, à 15 heures, au cimetière de Luisant, 7, rue de l’Orne-de-Sours, 28600 Luisant, à proximité du magasin Brico Marché.

    Mon cher Alain et à toute ta famille, au nom de l’association, je te renouvelle nos sincères condoléances et t’assure de notre soutien pour t’aider à traverser cette épreuve.

    Amitiés alembertines.

    Au nom de l’association des anciens d’Alembert

  8. Bonjour à toutes et à tous,

    Tout d’abord, un grand merci à notre ami Francis, dont les photos reflètent bien l’ambiance de ce banquet 2017.

    Cette année, j’ai particulièrement ressenti beaucoup d’émotion et de chaleur entre nous, c’est peut-être le fait d’être parmi l’équipe des organisateurs, et de me trouver sur mes terres de jeunesse.

    Nous avons aussi été gâté par notre traiteur, qui nous a concocté des mets de grande qualité. Et que dire du professionnalisme de son équipe.

    C’est la seconde fois que Catherine et moi participons à l’organisation du banquet ; la première étant en 2009 pour le 40ème banquet à Arnay-le-Duc avec les « célèbres » couples Moutote et Méheust.

    Cette année, nous avons eu le plaisir de connaître Maurice Cadot, également organisateur, et je dois dire que c’est un super mec, d’une très grande gentillesse.

    Je tiens à remercier toutes les copines et copains qui ont été d’une aide précieuse pendant le déroulement de cette journée, je ne les nommerais pas, ils se reconnaîtront (ceux qui ont participé à l’installation des tables, ceux qui ont remplacé au pied levé Catherine et Marie-Thérèse, pour la distribution des badges, ceux qui ont participé à la vaisselle, au nettoyage et au rangement de la salle). Je n’oublie pas non plus notre dévouée Colette Riellant qui a réalisé la carte du menu.

    Ce banquet 2017 fut, comme à l’accoutumée, un grand moment de retrouvailles et de bonheur. Le seul regret, c’est l’absence de nos anciens pour raison de santé.

    Catherine se joint à moi pour vous transmettre toutes nos amitiés alembertines.

  9. LES PHOTOS DU BANQUET 2017, À ALLIGNY-EN-MORVAN, SONT EN LIGNE

    Voilà les amis, un nouveau banquet qui a connu, encore une fois, un franc succès avec une participation qui se maintient, puisque nous étions encore 140 Alembertins à « banqueter » dans une bonne ambiance et la fraternité alembertine…

    Vous pouvez, dès à présent, cliquer comme bon vous semble sur le lien LE BANQUET DU MORVAN, en laissant votre flèche de souris dessus, puis cliquer sur la première ligne du menu déroulant intitulée BANQUET DU MORVAN 2017 A ALLIGNY. C’est alors qu’un article s’ouvrira à vous, il vous suffira de cliquer sur la dernière ligne de ce dernier, dénommée BANQUET DU MORVAN – ALLIGNY – 22/07/2017 et, comme par magie, les 400 images s’offriront à vous.

    Vous pourrez les ausculter, les admirer, les enregistrer, les imprimer, faire tout ce que vous voudrez… C’est CADEAU pour TOUS les anciens d’Alembert, membres de l’association ou pas, ainsi que pour les nombreux amis non alembertins qui suivent – avec assiduité – l’activité alembertine via le site alembertins.fr

    Bon « surf » sur les images.

    Amitiés alembertines et personnelles à toutes et à tous.

  10. LA PÉTILLANTE DANIELLE WEBER TOUJOURS AUSSI ACTIVE

    Je ne vous présente plus Danielle, ce petit « bout de femme », cette grande Dame, la présidente de l’AEPAPE Atout Cœur… Elle aussi est toujours sur le terrain, puisque rien n’est facile pour défendre les intérêts de cette association et toutes les autres, hélas !

    Elle m’a convié à assister à une réunion à Paris, à laquelle participera Dominique Versini, l’adjointe chargée de toutes les questions relatives à la solidarité, aux familles, à la petite enfance, à la lutte contre l’exclusion et aux personnes âgées. Pour être précis avec vous, il faut que vous sachiez que c’est elle qui décide de l’attribution (en l’occurrence de la non-attribution) de notre subvention. Je ne sais pas si je pourrai m’y rendre, je vais voir si c’est possible. Quoi qu’il en soit, je vais me fendre d’un petit courrier à son intention que je transmettrai, le cas échéant, via l’intermédiaire de Danielle.

    Danielle est heureuse d’avoir pu participer, une nouvelle fois, à notre banquet et du succès de la tombola qu’elle nous a insufflé d’organiser, alors que nous ne nous y étions point résolus auparavant.

    Même si je n’assiste pas à la réunion, je pense que nous nous rencontrerons, le mois prochain, dans les bureaux de la rue Japy, avec Danielle, à l’occasion d’un « événement » dont je vous reparlerai à l’occasion, tout naturellement.

    Au plaisir de te revoir « ma petite Danielle », tiens-toi prête, bientôt les Auvergnats et peut-être d’autres hordes vont débarquer à Paris, avec leurs gros sabots !

    Amitiés.

  11. JEAN-CLAUDE ET JOSIANE CORMIER VONT « BIEN » !

    L’ami Jean-Claude Cormier continue à « se battre », avec ses moyens, bien entouré par sa compagne Josiane qui, elle aussi, est très courageuse, au « propre » comme au « figuré », pas besoin de vous faire un croquis !

    Avant le 15 août, un couple (altruiste) d’amis alembertins est passé chez eux pour les emmener en week-end dans leur maison de campagne. Josiane m’a dit que Jean-Claude a su apprécier ce petit « dépaysement » durant ces 48 heures, tout comme elle, bien évidemment.

    Pour le reste, peu de changement, mais aucune amélioration en vue, hélas ! Je pense, nous en avons devisé avec Josiane, que nous irons à Paris avant la fin septembre, où à l’occasion, nous en profiterons pour faire un petit détour, sur la route du retour, pour aller saluer le couple dans sa résidence de Juvisy, ce qui devrait faire plaisir, je l’augure, à l’ami Jean-Claude.

    Bon courage mes deux amis, nous vous embrassons.

  12. Bonjour,

    Merci pour ces belles photos. Ce comice est vraiment un festival ! Je t’ai trouvé bien beau sur ton char.

    Quand j’étais petite, j’allais en vacances dans la Sarthe, il y avait tous les ans un comice mais il n’avait pas l’envergure de celui de Lormes, néanmoins on s’y amusait bien.

    Lormes a l’air d’être une petite ville très dynamique.

    Bel été. Bises à tous les deux.

  13. MERCI MA CHÈRE DANIELLE (WEBER) !

    Je manque à tous mes devoirs, même si depuis l’organisation du banquet je suis bien occupé, cela ne m’exonère nullement de faire mon « job » correctement !

    Ma chère Danielle, par ce message, je tiens à te remercier chaleureusement, non seulement pour ta présence parmi nous, mais aussi pour ta générosité. En effet, les nombreux et beaux lots, gagnés à la tombola par les Alembertins, ont été offerts par toi, via l’association Atout Cœur que tu présides.

    C’est la seconde année que tu offres tous ces lots, il faut que tout le monde le sache. Sans ta générosité, nous ne pourrions pas organiser de tombola, en tous les cas pas offrir autant de lots de valeur (comme un magnifique VTT ou un super aspirateur).

    Un grand merci à toi et à Jean Picard pour nous avoir permis d’ordonnancer cette tombola (à l’origine nous ne voulions pas en organiser) qui a connu un franc succès, même si tout le monde n’est pas reparti avec un lot !

    Kisses à toi ma « petite » Danielle.

    PS : En cas de besoin pour tes organisations festives ou autres à l’AEPAPE, tu sais pouvoir compter sur mon aide.

  14. Cher Guylem,

    Merci Guylem pour les magnifiques photos du Comice agricole de Lormes, elles sont vraiment superbes. Si j’avais su que vous aviez invité des Brésiliennes du Carnaval de Rio, tu peux être sûr que j’aurais fait le déplacement malgré la distance…

    Tu es superbe en bûcheron, mais tu sais cette profession ne s’improvise pas, je te parle en connaisseur et ne joue pas les « Lagau »… quand tu abats un arbre, regarde de quel côté il va tomber…

    Encore bravo pour ce magnifique défilé et tous nos compliments quand on sait les heures de travail que ça demande pour préparer toutes ces festivités, je connais.

    La bise à vous deux.

  15. Bonjour Guylem et Marie-Thé,

    Merci pour cette belle balade dans Lormes, ça me rappelle des souvenirs, surtout de la foire. C’est un défilé magnifique et la charcuterie Macadré est en bonne place. Je viens de vivre un bon moment.

    Nous vous embrassons.

  16. Bravo Guylem,

    C’est bien comme cela que l’on voit que les petites communes s’amusent mieux que dans les grandes villes.

    Merci pour ces photos du Comice agricole de Lormes… En attendant celles de Alligny-en-Morvan.

    Amitiés à toute ta famille et aux autres morvandiaux que nous connaissons​.

  17. Salut Guylem,

    Georges Laz a tout à fait raison, pourquoi aller chercher plus loin quand on peut aller plus près… Donc au vu de ce banquet TANT RÉUSSI, alors pourquoi ne pas récidiver avec les mêmes ingrédients et voir plus d’adhérents ?

    Pour ma part et celle de mes amis du Loir-et-Cher, nous DISONS, nous SIGNONS et PERSISTONS pour un OUI massif, ferme et DÉFINITIF.

    Bises à toi et Marie-Thé.

    La Puce l’Auvergnat

    PS : Avec Jean Denys comme musicien bien évidemment, trop bien son animation et le p’tit bal…

  18. Bonjour Marie-Thé et Guylem,

    Merci pour les photos. Nous espérons que vous avez bien récupéré et déjà repartis dans une autre aventure (le comice agricole).

    Ici tout va bien. La maison va s’animer pendant les semaines d’août avec la petite famille.

    Bonne journée.

    Nous vous embrassons.

  19. Bonjour à toute la famille Alembertine,

    Je viens de consulter le message de l’ami Georges Laz au sujet du banquet 2018, je pense que son idée est alléchante de remettre ça à Alligny si possible, ce qui pourrait permettre aux absents de cette année de pouvoir visiter notre musée en 2018 dans une excellente ambiance.

    Nos sincères Amitiés.

  20. Bonjour Guylem,

    Merci pour les photos… Tu ne m’oublies pas pour me transmettre les coordonnées
    de la personne qui gère les dossiers de…

    Merci par avance, bonne soirée à toi et tes proches.

    Amicalement.

  21. BANQUET 2018 : OÙ ? QUAND ? COMMENT ?

    Bonjour Guylem, à tous,

    À chaque commentaire très élogieux sur le banquet 2017 à Alligny, tous les amis pensent déjà au grand rassemblement Alembertin de 2018 ; contrairement à la tradition, cette journée festive au cœur du Morvan est restée muette sur d’éventuels organisateurs bénévoles pour organiser le banquet 2018. Le débat est lancé, personnellement, si personne ne se manifeste, l’idée de mon ami Georges me convient.

    Quel que soit le lieu, la date et la manière, le banquet 2018 se fera et ce sera comme chaque année un grand cru et l’assurance d’une immense satisfaction pour les courageux organisateurs.

    Amitiés à tous.

  22. PHOTOS DU BANQUET !

    Bonjour,

    Merci à vous deux, Guylem et Dominique, pour ces premières photos du banquet.

    Vivement la suite…

  23. JEAN-CLAUDE CORMIER REMERCIE LES COPAINS

    L’ami Jean-Claude Cormier, quelque peu ému, m’a chargé de remercier les copains pour leur délicate attention, en l’occurrence, pour la magnifique carte signée par la majorité d’entre nous et envoyée par l’ami Richard Rosso.

    Il est content (euphémisme !) que le banquet se soit bien déroulé, en présence de 140 personnes, malgré les défections dues au vieillissement des troupes. La voie chevrotante, il m’a dit regretté sincèrement de n’avoir pu être des nôtres. Il m’a confié qu’il aurait tant aimé être présent à Alligny-en-Morvan, le berceau du Morvan, là où se trouve, dorénavant, notre maison, le musée des nourrices du Morvan et des enfants de l’Assistance publique, que hélas, avec Josiane, ils n’ont pas pu encore visiter à ce jour.

    Il remercie l’ami Francis Fidelaine pour avoir eu l’amabilité de lui avoir envoyé les clichés de notre grand rendez-vous du week-end dernier. Cela lui a permis de visionner les copains présents, anciens et nouveaux, tels Didier Orsini le Clermontois – dont il se souvient bien – et Roger Jusselin, le Savoyard !

    J’éviterai de me perdre en conjectures et de m’exprimer sur l’état de santé de notre ami ainsi que sur celui de la « soignante », Josiane, dont ce n’est pas forcément évident tous les jours, pour elle aussi. Jean-Claude a réservé pour un séjour de trois semaines dans l’Allier, au mois d’octobre, où il doit effectuer une cure spécifique. Je vous en parlerai le moment venu, car pour le moment, il ne désire pas que j’en dise plus, m’a-t-il confirmé ce matin.

    Pour l’instant, il continue les soins en hôpital de jour et il a repris son traitement qu’il avait abandonné suite aux « conseils avisés » d’un grand spécialiste ! Pour être tout à fait clair avec vous, je peux juste vous dire que c’est « stationnaire », mais aucune amélioration n’est en vue, hélas !

    Mon cher Jean-Claude, ma chère Josiane, au nom de l’association, je vous renouvelle tout notre soutien indéfectible et nos encouragements pour vous aider à traverser cette terrible épreuve qui vous a éloigné ad vitam de la famille alembertine, ce que nous regrettons tous, bien évidemment.

    Amitiés et bises à vous deux.

  24. Bonjour à tous,

    Le Morvan, terre d’accueil par excellence pour les enfants de l’Assistance, en ces 21 et 22 Juillet 2017, voyait débarquer un flot inhabituel de voitures à Alligny-en-Morvan. Les parkings étaient pris d’assaut, des groupes se formaient, de joyeux compères, accompagnés le plus souvent de leur « Alembertine » tout sourire, investissaient cette magnifique et paisible cité, se congratulaient, se taquinaient et riaient à gorges déployées, tout cela dans une bonne humeur générée par le plaisir indicible de se revoir et par cette amitié indéfectible qui les lie.

    Il avait été convenu que notre traditionnel « BANQUET DU MORVAN » se déroulerait dans cette verdoyante et reposante localité. Mais ce choix n’avait pas été fait au hasard, non, il répondait à une envie : rendre hommage à tous ceux qui avaient contribué à la création du magnifique « Musée des Nourrices et des Enfants de l’Assistance », le but était donc double.

    Nous n’avons pas manqué d’évoquer ceux que nous aurions tant aimé retrouver mais que l’âge ou la maladie éloigne de ces rendez-vous tant appréciés, ce que nous avons regretté vivement.

    Il faut préciser que tous les Alembertins présents sont dotés d’un sacré coup de fourchette… ils ne furent pas déçus, tant le vendredi soir à l’Auberge du Morvan que le samedi lors de notre banquet proprement dit et, pour faire court et sans emphase, il faut reconnaître que ce fut parfait dans les deux cas. Il faut, bien entendu, féliciter les amis organisateurs : Guylem, Gilles assistés de leur épouse et Maurice le régional de l’étape. Bravo à vous tous.

    Nombreux également furent ceux qui profitèrent de l’occasion pour visiter le Musée et par la suite se fendre de commentaires élogieux sur le lieu… souvenirs, souvenirs !

    Pour ma part un simple petit bémol : j’ai regretté l’absence de gens de l’Association du Musée à notre repas du samedi, en d’autres temps, pour leur banquet, nous étions cinq d’Alembert et épouses à partager leurs agapes.

    En conclusion nous avons vécu un BANQUET DU MORVAN d’exception, vivement 2018 !

    Amitiés Alembertines.

  25. Le banquet – comme d’habitude – a été une réussite.

    C’est toujours un plaisir pour moi de revoir les Anciens d’Alembert. Hélas, l’âge et la maladie nous ont privés de
    la présence de certains !

    Un grand merci aux organisateurs : repas, ambiance, retrouvailles, tout était pour le mieux.

    Amicales pensées pour tous.

  26. A notre tour nous tenons à remercier les organisateurs du banquet qui se sont donné tant de mal pour nous satisfaire.

    Bravo car tout était parfait, le repas délicieux, très recherché, tant au point de vue de la qualité que de la présentation.

    L’ambiance comme d’habitude, bonne participation de tout le monde, une très bonne journée.

    On a envie de recommencer.

    A l’année prochaine.

  27. Félicitations au président et aux organisateurs pour cette superbe journée…

    Tout a été à la hauteur de nos espérances. Le repas était digne d’un repas gastronomique. La visite du musée a fait ressurgir des souvenirs enfouis dans notre inconscient et que l’on croyait oubliés !

    Une pensée pour ceux qui pour des raisons diverses n’ont pas pu se déplacer.

    Amicales salutations à tous.

  28. Nous tenons à vous remercier chaleureusement pour le bon accueil et le merveilleux week-end que nous avons passé ensemble. Nous vous adressons tous nos compliments pour la très bonne organisation de ce rendez-vous Alembertin qui restera un très grand souvenir pour nous. Soyez fiers et très honorés du travail accompli.

    Merci aux dévoués organisateurs.

  29. A tous les gentils G.O. et « Notre Marie-Thé » BRAVO pour ce banquet, qui encore une fois a été une réussite. Très bon repas, ambiance parfaite, lieu très sympathique.

    Même Angèle était contente de retrouver certaines dames « Lozériennes » et autres. De revoir tous ces copains-amis, surtout ceux qui ont été malades ou en difficultés, cela réchauffe le cœur.

    A l’année prochaine.

  30. Président Guylem,

    Que dire de ce banquet, sinon que vous FÉLICITER, tout a été très bien orchestré, entourés de celles et de ceux qui ont œuvré pour que tout soit réussi. Un repas de HAUTE QUALITÉ et RAFFINÉ, une AMBIANCE et une GRANDE FRATERNITÉ, une soirée animée où beaucoup ont dansé, on s’est amusé jusqu’au bout, vraiment trop bien.

    MERCI POUR TOUT !

    La Puce – Familles Steinmann et Bergeot

  31. Bonjour,

    Marie Thé, Guylem, nous venons vous remercier pour la merveilleuse journée du 22 juillet, une très bonne organisation et, surtout, un repas et un buffet de bonne qualité. Bravo pour ce traiteur.

    Salutations à tous et regrets pour les absents à ce banquet.

  32. Le banquet du Morvan à Alligny a été en tout point une réussite, aux plaisirs de se retrouver s’est ajouté le plaisir du palais flatté de mets délicieux arrosés de blanc, de rouge, de bulles qui ont su délier les langues des Alembertins et de leurs compagnes. Et que dire du musée des nourrices et des enfants de l’A.P. il a su me mettre la larme à l’œil (et je n’étais pas le seul).

    UN GRAND MERCI aux organisateurs qui nous ont encore une fois permit de nous retrouver. Une pensée pour tous les copains qui pour une raison de santé n’ont pas pu être parmi nous. À l’an prochain.

    Amitiés alembertines.

  33. Bravo à M. Camille Consalvo. Je suis admirative devant un tel courage. J’ai quelques années en moins et j’ai mal partout quand je joue de la truelle au bas de mon mur.

    Portez-vous bien M. Camille mais pensez, quand même, à vous ménager.

    Avec toute mon amitié.

  34. OCCASION DE RIRE UN PEU

    Bonjour Guylem,

    Henri Salvador chantait « le travail c’est la santé, ne rien faire c’est la conserver ».

    L’abbé Pierre lui, ne s’arrêtait jamais et il répondait à ceux qui le questionnaient, qu’il avait toute l’éternité pour se reposer. Je crois pouvoir me classer dans cette deuxième catégorie.

    En effet, si pendant sept ans Michel Ange est resté suspendu au plafond de la voûte de la chapelle Sixtine à Rome, moi, depuis deux semaines, je suis resté suspendu au plafond de ma salle de bains que je rénove. Enlèvement de l’ancienne isolation, vieille d’une trentaine d’années, remise à nu du plâtre, collage d’une nouvelle isolation plus performante, application d’un enduit, etc… etc.

    Bien sûr, aucune comparaison avec cet artiste de génie mais quand même, à mon niveau, c’est encore une belle performance que je viens de réaliser. Dans mon entourage, on dit que je suis fou. C’est probablement vrai, mais alors ! C’est une maladie que beaucoup de jeunes de….. 85 ans aimeraient contracter.

    Ce midi, j’ai appelé mon ami Robert Raymond pour lui souhaiter un bon anniversaire. Aujourd’hui 19 juillet, il accuse vaillamment 85 printemps. Au banquet annuel des anciens, Jacques Tiriou ayant déclaré forfait, Robert sera je pense, le seul représentant de la promo 46-50. A ce titre, il méritera un double toast lors de l’apéritif. En ce qui me concerne, pour des raisons purement familiales, je n’ai jamais participé à aucune de ces rencontres mais je les ai toujours approuvées.

    Amitiés et bon banquet à tous les anciens d’Alembert.

  35. JEANNETTE RENAULT, CONTRAINTE, DÉCLARE FORFAIT

    Un nouveau renoncement, contraint et forcé, de la part de Jeannette Renault, l’épouse de Bernard qui, trop fatiguée, suite à des problèmes de santé, ne se sent pas la force de participer à notre banquet.

    Bernard, cependant, sera bien présent, accompagné de Jeanne et Martine et de leur couple d’amis, de Gâcogne, le midi et le soir, ce dont je me félicite. Bien évidemment, je suis quelque déçu par le forfait contraint de notre amie Jeannette qui, pour la première fois, depuis longtemps, sera absente à notre grand raout étésien… Bon courage ma chère Jeannette, nous aurons une pensée pour toi.

    Je reste optimiste, heureusement la date approche, j’espère juste que les renoncements et autres forfaits sont derrière nous. Nonobstant je reste attentif et je suis encore dubitatif quant à la présence de certains copains qui n’ont toujours pas envoyé leur chèque de participation, ce qui rend, à l’évidence, leur présence très aléatoire !

  36. GEORGES BOYER COVOITURÉ PAR DAVID ALEXANDRE

    L’ami Georges Boyer qui, hélas, a connu bien des vicissitudes ces dernières années, m’a confié sa joie et son bonheur, lors de notre entretien téléphonique de ce jour, de pouvoir être présent parmi nous, à l’occasion de notre 48e banquet du Morvan.

    Tout comme Jacques Petitjean-Légerot, Georges a des problèmes pour conduire, ce qui le handicape et lui interdit depuis ces dernières années de participer à notre banquet. Heureusement, cette année, il a trouvé un chauffeur de maître, en la personne de l’ami Alexandre David, qui s’est aimablement proposé pour covoiturer Georges jusqu’à Alligny et le reconduire à domicile quand les lampions de la fête seront éteints. Merci mon cher Alex pour ta « bonne conduite », nous serons heureux, grâce à toi, de pouvoir accueillir l’ami Georges.

    Il est à noter que Viviane Hélou, exceptionnellement, sera présente grâce au covoiturage d’une amie, sinon elle n’aurait pas pu être des nôtres, elle non plus. Je croise les doigts pour que la famille Petitjean-Légerot trouve, elle aussi, un chauffeur avant samedi, mais j’avoue que je suis plus que circonspect, quant à leur présence samedi, à Alligny, hélas !

  37. JEAN-PIERRE CORTET (ANCIEN MAIRE D’ALLIGNY) HONORERA DE SA PRÉSENCE NOTRE BANQUET

    Devant toutes ces défections et ces incertitudes, « remonté comme une vieille comtoise morvandelle », je continue à contacter quelques personnes afin de tenter de remplir la salle des fêtes. J’ai donc, à nouveau, rappeler Jean-Pierre Cortet, ancien maire de la commune d’Alligny-en-Morvan, dont j’avais eu l’honneur et le privilège de faire la connaissance en juillet 2016, quand j’étais en reconnaissance pour visiter la salle des fêtes. C’est d’ailleurs lui qui m’a servi de guide et m’a donné les coordonnées personnelles de Martine Grosche, la mairesse actuelle, à qui j’ai proposé, tout naturellement, qu’elle participe au moins au vin d’honneur.

    Jean-Pierre a été surpris, ému et honoré par ma proposition de participer à notre fête alembertine. Devant mes arguments et mon insistance, l’ancien édile m’a confirmé qu’il était d’accord, avec son épouse, de se joindre à nous pour « ripailler » et faire la « teuf ».

    Voilà, enfin, une bonne nouvelle, en espérant que d’autres désistements ne viendront pas ternir une fois encore mon optimisme. À ce jour, Jacques Petitjean-Légerot est toujours en attente d’un chauffeur, il n’a reçu aucune proposition pour le conduire, avec son épouse et sa belle-sœur, à Alligny. C’est dommage, nous perdons ici trois personnes qui souhaitaient ardemment participer à notre banquet, mais qui resteront à qui à cause d’un problème de chauffeur !

  38. C’EST AU TOUR DE CHRISTIAN OPIOLA DE DÉCLARER FORFAIT

    Quand c’est fini, ça recommence et ainsi de suite et ce n’est sans doute pas fini, hélas ! C’est par un message lapidaire, via la messagerie Messenger, que Nadine, la compagne de Christian Opiola, m’apprend que, hélas, suite à un problème d’ordre privé, ils sont « désolés de se décommander pour Alligny, mais qu’ils seront présents par la pensée ».

    Je vous disais que j’étais comme saint Thomas, je ne croyais que ce que je voyais et j’ai raison. En l’occurrence, les désistements commencent à s’accumuler, notamment de la part des personnes qui n’ont pas envoyé leurs chèques, mais pas que. Depuis samedi dernier, j’en suis à 10 désistements et je crains encore que la liste ne s’allonge quelque peu d’ici samedi midi, voire que certains ne viennent pas. Allez restons positifs, peut-être serons-nous au moins une petite centaine, tout au moins 99 !

  39. MICHEL COIFFÉ SERA PARMI NOUS… CHAPEAU !

    Alors que, comme beaucoup d’entre vous, j’avais pris soin de contacter Michel afin de savoir s’il serait des nôtres, il m’avait dit naturellement que oui et qu’il allait m’envoyer son chèque. À ce jour, je n’ai pas reçu le précieux sésame, mais Michel sera bien parmi nous, j’en suis certain.

    Bizarre, fichtre, bigre, allez-vous me dire, ce n’est à rien n’y comprendre, on en perdrait même son latin et son grec. Normal, je m’explique comme un « manche », volontairement de matière confuse, non je rigole, du moins j’essaie ! Michel m’a bien envoyé son inscription, mais il a dû faire une erreur sur l’adresse, car son courrier lui est revenu, ceci explique donc cela… Vous voyez que ce n’est pas si compliqué que cela en a l’air. N’étant plus à Orcines, Michel me paiera son inscription in situ, dès samedi matin, lors de la remise des badges. Il en ira de même pour certains copains qui ne m’ont toujours rien envoyé mais m’ont confirmé, lors de mes derniers appels, qu’ils seraient bien présents, ce dont j’espère vivement, tout en sachant – tout comme saint Thomas – que j’ai tendance à ne croire que ce que je vois.

  40. SOS : RECHERCHE CHAUFFEUR POUR LA FAMILLE PETITJEAN-LÉGEROT

    L’autre jour, si vous avez suivi les nouvelles sur le site, je vous relatais avec humour les pérégrinations de l’ami Jacques quant au trajet pour se rendre à Alligny. Jacques m’avait dit qu’il verrait comment le repérage allait se dérouler pour prendre sa décision définitive.

    N’ayant plus de nouvelles depuis cinq jours, je l’ai donc rappelé ce lundi midi pour savoir si tout s’était bien déroulé et si nous pouvions escompter leur présence, comme prévu depuis le début juin entre nous deux. Hélas, le repérage s’est très mal passé, ils ont galéré pour trouver, car lui et son épouse ont de sérieux soucis de santé, notamment au niveau de la vue, ce qui est handicapant.

    Jacques m’a dit, tout de go, tout contrit, que c’était IMPOSSIBLE, dans ces conditions, qu’ils vinssent à Alligny. Je peux vous dire qu’il est totalement dépité. Il m’a demandé si, le cas échéant, au dernier moment la situation trouvait une solution, nous accepterions qu’ils soient présents, même s’ils n’ont pas réservé. Je l’ai rassuré en lui disant qu’il n’y avait aucun problème, ils étaient les bienvenus, ils auront tout naturellement une place, je sais gérer « finger in the noze » ces « situations de crise ».

    Nonobstant, si vous lisez ce message, et que parmi vous il se trouve une « âme charitable » qui accepte de faire un COVOITURAGE pour la famille Petitjean-Légerot, ce serait super ! Ils habitent Nevers et avaient prévu de venir le samedi midi. Si vous voulez plus d’informations, n’hésitez pas à me contacter, je me charge de vous mettre en rapport avec Jacques, un homme charmant. Je compte sur votre altruisme alembertin pour que Jacques et son épouse puissent être des nôtres samedi, ce serait super… Merci pour eux !

  41. HENRI WISZNIAK PAS VRAIMENT D’ATTAQUE

    Naturellement, vous vous en doutiez, l’ami Henri Wiszniak n’est plus enclin à venir à nos rendez-vous, tout comme d’autres, je crains que ce soit définitif. Certes, en ce lundi midi, il m’a confié mezzo voce qu’il a attendu et espéré, jusqu’au dernier moment, qu’une petite étincelle, une infime lueur d’espoir put lui permettre d’être des nôtres à Alligny.

    Hélas, cette lumière n’est jamais venue, l’ami Henri et son épouse Brigitte ne seront pas, à mon grand désespoir, parmi nous samedi prochain. Vous connaissez toutes et tous l’altruisme et la fibre alembertine d’Henri, je peux vous dire que « ça le mine » de ne plus pouvoir être parmi sa famille adoptive, il me l’a répété à plusieurs reprises, lors de notre entretien téléphonique.

    Une maigre consolation, il m’a dit suivre régulièrement les nouvelles sur le site, hélas aussi peu nombreuses que les 29 février, même si en ce moment c’est un peu plus « fourni » eu égard à l’organisation du banquet, où j’essaie tant bien que mal de vous retranscrire quelques nouvelles. Il a tout naturellement pu s’apercevoir du forfait de l’ami Jacques Tiriou, un ami de sa promotion. Henri m’a dit, un rien nostalgique, que « notre promotion sera représentée par le seul Robert Raymond, alors prenez-en soin ». Pas d’inquiétude mon cher Henri, nous le couvons et le surveillons « comme le lait sur le feu », l’Robert, il est entre bonnes mains, quand il se trouve parmi nous, « sau moué qué tau diau » (c’est moi qui te le dis) !

    En ce qui concerne le banquet, je suis à Lormes depuis samedi après-midi, où je n’ai pas eu le temps de chômer, puisque samedi soir c’était la fête des voisins de mon village, « La Vallée », où nous nous sommes retrouvés à 90 à faire la fête jusqu’à 3 heures du matin. Dimanche matin, démontage des barnums et rangement de tout le matériel ; l’après-midi participation à la grande course de côte de voitures (Coupe de France). Aujourd’hui et demain, préparation du char du village (dont le thème est « Le petit chaperon rouge ») en vue du corso, à l’occasion du Comice agricole des 5 et 6 août à Lormes. À partir de mercredi, changement de cap, puisque le seul centre d’intérêt (ou presque) sera dédié exclusivement à la préparation du banquet, où vous êtes attendus dès vendredi pour beaucoup d’entre vous.

  42. MARION BLANC PREND CONTACT

    Bonjour Guylem,

    J’espère que vous allez bien et que les préparatifs du banquet se passent comme vous le souhaitez.

    Martine Chalandre m’a relayé votre invitation à vous rejoindre le samedi soir. Nous serons ravis de partager un verre avec vous ; merci à vous de le proposer.

    Au niveau de l’organisation, quelques précisions pour vous accueillir au mieux :

    – Vendredi, samedi et dimanche, le musée sera ouvert de 10 heures à 18 heures.

    – Samedi, ce sera l’inauguration de la biennale Arts et Matières qui se déroule en partie à Alligny cette année avec des installations d’art contemporain dans le village. Martine et moi devront être présentes pour la visite inaugurale et seront donc mobilisées le samedi matin / midi.

    – Le musée est au tarif réduit (3,5 €) pour les Alembertins qui souhaiteraient faire la visite.

    – Nous nous tenons à votre disposition pour toute question.

    Au plaisir, Guylem, de vous revoir très prochainement !

    Marion BLANC
    Agent de développement culturel

  43. JACQUES TIRIOU M’ANNONCE QU’IL RENONCE

    Quand ça commence, il est rare que ça s’arrête, c’est la loi des séries. L’ami Jacques Tiriou vient de m’appeler en ce vendredi soir de 14 juillet pour m’annoncer qu’il avait pris la décision de renoncer, pas de gaieté de cœur, à venir à Alligny-en-Morvan, alors qu’il était inscrit depuis deux mois.

    Je ne vais ici dévoiler la teneur des propos de Jacques, vous le comprendrez aisément. Nonobstant, il faut que vous sachiez que l’état de santé de Jacques ne s’est pas dégradé, il parle tout à fait bien, il a récupéré toutes ses facultés mentales. C’est au niveau du moral que tout se joue, Jacques ne sent plus la « niaque » pour participer à un rendez-vous comme le nôtre, il m’a dit qu’il « fallait être lucide et se faire une raison ». Ce qui signifie, quand on décode le propos de notre ami que, dorénavant, nous ne pourrons plus compter sur sa présence à notre banquet comme, hélas, de plus en plus de copains, la liste s’allonge irrémédiablement chaque année.

    Jacques le regrette mais sa décision est irréversible, il me charge de vous souhaiter le bonjour et ambitionne pour nous de passer un très bon week-end à Alligny-en-Morvan. Bien sûr, mon cher Jacques, ton absence va cruellement nous manquer tout comme celles des nombreux copains qui ne peuvent pas venir à cause de problèmes de santé. Tout naturellement, je vais renvoyer un chèque à l’ami Jacques pour le rembourser, même s’il ne l’a pas indubitablement convoité.

  44. DANIÈLE ET BERNARD LANDAIS, CE N’EST PAS LE FEU D’ARTIFICE

    Je suis toujours en attente de réponses de la part de copains qui ne m’ont toujours pas envoyé leur chèque ni confirmé ou infirmé leur venue en ce vendredi 14 juillet, ce qui est très ennuyeux, euphémisme ! Par contre, mon téléphone commence à sonner, mais c’est pour m’annoncer des désistements, hélas. J’espère juste que d’ici l’autre samedi ils ne seront pas légion, auquel cas nous ajusterons pour la trésorerie afin de rester dans « les clous », ce qui n’est pas une mince affaire.

    Aujourd’hui, c’est Danièle Landais, toute confuse, la fille de Lazarovitch, l’initiateur du banquet du Morvan, qui m’a annoncé que Bernard et elle renonçaient sine die à participer à notre rendez-vous. Danièle, qui a fait une malencontreuse chute, s’est fait un léger tassement au niveau d’une vertèbre, m’a-t-elle signifié. Quant à Bernard, il a été hospitalisé pour un « petit » problème cardiaque, a priori sans trop de gravité, encore qu’il faille attendre le verdict des pontes du corps médical. Depuis plusieurs années, l’ami Bernard, vaillant chasseur émérite de Dun-les-Places, est suivi à ce niveau.

    C’est bien regrettable, mais nous n’y pouvons rien, ce sont les aléas de la vie, malheureusement. La semaine prochaine, si j’arrive à dégager un peu de mon temps, j’essaierai de faire un détour jusqu’au Vieux-Dun pour prendre des nouvelles de la fratrie Landais et, également, REMBOURSER le couple. Jusqu’à maintenant j’ai toujours réussi à restituer les chèques aux copains, même à celles et ceux qui ne venaient pas, alors qu’ils étaient inscrits et n’avaient pas prévenu auparavant.

  45. LA FAMILLE CLAUDE SYLVAIN, C’EST CERTAIN

    Encore une bonne nouvelle, je commençais à ne plus y croire depuis la dernière fois que j’avais eu Sylvain au téléphone. Chaque jour je scrutais la boîte aux lettres pour savoir si elle contenait l’inscription de nos deux amis de Bobigny. D’ailleurs, j’avais prévu de les appeler, à nouveau aujourd’hui, pour savoir s’il n’y avait pas un « nouveau » problème ?

    Bingo, ce midi le précieux sésame était bien présent (tout comme celui de la famille Bur), ce qui m’a enlevé « une épine du pied », forcément. Content, là aussi, de pouvoir compter sur la fratrie Claude et, bien évidemment, sur celle de la famille Bur, mais là j’étais serein, car je savais, j’étais certain depuis longtemps.

    Comme vous voyez, rien n’est tout à fait simple, il faut insister au-delà des dates limites, si l’on veut être sûr d’avoir un maximum de monde à notre grand rendez-vous. Aujourd’hui il me manque encore quelques inscriptions qui, j’espère, m’arriveront avant samedi, après il est certain que ce n’est plus possible. Juste pour votre information, si j’avais été « coercitif », surtout si j’avais clos les inscriptions à la date initialement prévue sur le bulletin, nous n’aurions été QUE 104 copains présents le midi. Alors, eut-il été raisonnable que nous n’eussions pas été plus nombreux ? Depuis cette date, j’ai reçu pas mal de bulletins et ce n’est pas encore tout à fait fini, puisque j’en attends encore quelques-unes. Rassurez-vous, j’ai prévenu le traiteur avec lequel nous avons fait un deal, puisque nous faisons un dernier point d’étape samedi.

  46. JACQUES PETITJEAN-LÉGEROT CHERCHE LA ROUTE D’ALLIGNY

    Alors que nous sommes le 12 juillet, le doute m’habite concernant la venue de Jacques Petitjean-Légerot qui, voilà trois semaines, m’avait pourtant confirmé sa présence. Pourtant, à ce jour je n’ai toujours pas reçu son inscription. Certes, il n’est pas le seul, puisque selon mes prévisions, il m’en manque une bonne dizaine.

    J’ai rappelé Jacques ce mercredi midi pour savoir si sa venue était toujours d’actualité, oui ou non ? Vous n’allez pas me croire, mais Jacques était en route, avec sa belle-sœur comme « chauffeuse », sur la route d’Alligny. Il m’a confirmé qu’il tenait, au préalable, à faire la reconnaissance intégrale du trajet avant de prendre sa décision définitive. Non, sans humour, Jacques m’a confirmé que s’il arrivait sans encombre à Alligny avant ce soir, il me rappelait demain matin pour me donner sa réponse.

    Il habite à Nevers, alors je ne suis pas trop inquiet, encore que ! Quand je l’ai eu au téléphone ils étaient à 5 km de Château-Chinon, ce qui est déjà une bonne chose. Certes, ce début de parcours ils le maîtrisent, c’est la suite qui s’annonce « problématique ». Je suis quelque peu rassuré, puisqu’ils sont équipés, en plus du traditionnel roadbook, d’une carte Michelin spécifique, une carte IGN, une boussole, un compas et un chien renifleur pour parcourir les 34,5 km qui sépare la citadelle de Château-Chinon de la place d’Alligny, soit environ 40 minutes, selon la vitesse de la voiture et celle du vent, notamment s’il est favorable ou défavorable !

    J’anticipe, je reste volontiers optimiste, sur la venue de trois « Petitjean » à notre banquet du Morvan, ce qui est bien. Si ce n’était pas le cas, je crains fort que, cette fois-ci, je me jette dans le puits de la Beurnotte, lesté d’un sac de 50 kg de plomb…

  47. LA PROMOTION 1966-1970 QUELQUE PEU DÉCIMÉE

    Ce n’est pas un scoop, mais il n’est pas inutile de vous rafraîchir la mémoire, en vous disant que ces dernières années, la promotion 1966-1970 occupait la première place du podium, puisqu’ils étaient les plus nombreux à assister au banquet.

    Hélas, c’est comme pour les champions, on ne peut indéfiniment rester au top niveau. Pour ce 48e banquet du Morvan, a priori il y eut une épidémie, puisque la dream team est quelque peu décimée, même si des copains sont encore présents, mais en nombre moindre, hélas. Pour certains, je sais que c’est aléatoire, pour d’autres je crains que ce soit définitif, hélas. Et encore, en insistant « lourdement », j’ai réussi à faire venir deux nouveaux copains de cette promotion, les amis Gérard Lopez et Jean-Claude Bazile, ce qui permet de « regonfler » la troupe.

    Pensez donc, mes bons amis, exit les copains Patrick Brunet, Richard Dominique, Paul Talon, Patrick Bonnerot, Lou Lou Goumbri, Dominique Lorenzini et Patrick N’Guyen van Mot, rien moins que cela. Imaginez, si tous ces copains étaient venus et quelques autres qui ont déclaré forfait, puisque certains de ces copains ne venaient pas, sans omettre les nombreux malades, nous aurions explosé les compteurs !

    Il est évident que pour Paul Talon, c’est normal, puisqu’il réside à Nouméa. Il vient, en règle générale, tous les deux ou trois ans. Dominique Richard m’avait prévenu l’an dernier, à Gurgy que, dorénavant, il ne viendrait, lui aussi, que tous les deux ou trois ans à cause de la distance, il réside aux environs de Toulouse. De plus, cette année, il avait un événement privé qui tombait le même week-end.

    Pour certains, ça ressemble, hélas, au chant du cygne, je parle de Dominique Lorenzini et Lou Lou Goumbri, tous les deux pour des raisons différentes. Hélas, si « Laurent » ne vient pas, nous n’avons plus droit à la venue de son ami Michel Marinetti, voire de celle de « Ma BIre », etc. Pour Patrick Brunet, je pense que c’est exceptionnel, je suis certain que nous le reverrons dès l’an prochain. Pour Patrick Nguyen, c’est un peu différent, car souvent notre ami est en vacances à ces époques, m’a-t-il confirmé. Pour Patrick Bonnerot, c’est « spécial », mais je n’en dirai pas plus sur le site. Le cas de Jean-Claude Ratier est un peu différent, puisqu’il n’est JAMAIS venu. Cette année, j’ai tout fait, car il n’habite qu’à quelques kilomètres, mais a priori c’est peine perdue, rien ne peut le décider à franchir le Rubicon et venir nous saluer, c’est vraiment dommage !

    Si je n’avais pas réussi à décider les frères Bazile et Gérard Lopez, la promotion 1966-1967 n’aurait compté « que » quatre copains, Dominique Bur, Francis Fidelaine, Christian Monnier et Claude Narcisse (un quarteron de généraux), alors qu’elle aurait pu compter (hormis Paul Talon) jusqu’à 12 copains, un véritable record, hélas, qui ne sera plus jamais atteint, quoi que. Remarquez, il faut positiver, puisque avec les deux copains « retrouvés », ils seront encore six au coup d’envoi, ce qui devrait, une fois encore, les placer sur le podium, malgré tous ces forfaits.

    PS : j’avais demandé aux copains de promo ou à ceux qui connaissent bien Lou Lou de l’appeler pour le « stimuler ». A priori, il semblerait que personne ne l’a fait, c’est dommage, car nous aurions pu certainement faire changer d’avis Lou Lou.

  48. AVEC JEAN SCHRAMM, JE RAME

    Certes, nous avons passé les délais impartis pour s’inscrire, mais dans un souci majeur de rassembler un maximum de monde, je continue à appeler les derniers copains dont je n’ai toujours pas reçu leur inscription. Certes, certains ne viendront certainement pas mais d’autres vont sans doute dire oui au dernier moment.

    L’ami Jean, c’est la troisième fois que je l’appelle, car rien n’était encore garanti, les choses évoluent très vite chez lui. J’ai réussi à l’avoir au téléphone hier, alors qu’il n’était pas à la maison, mais j’avais un numéro « privé » et secret bien gardé en secours et il m’a servi. D’ailleurs, Jean a été médusé que je puisse le joindre dans ce lieu ! Je l’ai laissé dans l’expectative, je ne vais dévoiler mes sources et mes « ficelles », c’est comme pour les ramasseurs de champignons, jamais ils ne vous indiqueront leurs coins.

    Cette fois, sauf tsunami, séisme, invasion, grève générale, épidémie, je crois que j’ai mis dans le mille. L’ami Jean m’assure, m’affirme, m’indique, me promet, me jure qu’il sera bien présent, en charmante compagnie, puisqu’il devrait être accompagné de Fr… Je croise les doigts, je scrute les astres, je regarde la Lune, je me pince pour y croire, mais saperlipopette, c’est bien vrai, Jean Schramm sera présent à Alligny-en-Morvan, ambiance garantie.

    J’ai décidé de lui faire confiance, puisqu’il je lui ai indiqué qu’il ne paiera qu’une fois in situ. Je suis quelque peu rasséréné, puisque demain mercredi, il sera du côté de Gurgy où, à l’occasion, il rencontrera la famille Bur et leur Excalibur, Chantal et Dominique lui feront la commission. Bon, même si parfois on rame, c’est pour la bonne cause, puisque j’aurai réussi à « ramener » Jean Schramm parmi nous et, cette fois, j’espère que c’est pour de bon, jusqu’à son centenaire !

  49. Bonjour les amis,

    Suite à la lettre d’Eugène Pillard et à son mail, je souhaite préciser un élément très important : le site « alembertins.fr » a été repris par notre Président depuis bientôt quatre ans ; jusqu’alors, personne d’entre nous ne savait l’utiliser. Il a su (avec l’aide et les compétences de son fils) le maîtriser et le faire vivre. Ceci prend du temps.
    Jamais, Guylem n’a demandé un dédommagement pour ce travail lourd et permanent.
    Le conseil d’administration a décidé, il y a deux ans, d’allouer une somme forfaitaire de 500 euros à l’attention du fils de notre président, en remerciement du travail accompli. C’est peu quand on connaît les prix de maintenance informatique.
    Depuis des années, j’ai assisté à l’ensemble de nos manifestations, et principalement à nos conseils d’administration ou assemblées générales ; je peux assurer que les dépenses faites par l’association, sont discutées et approuvées par la majorité des membres du CA.
    Notre président ne peut, en aucun cas, faire l’objet d’un doute sur une quelconque rémunération quant au fonctionnement du site. Je tiens à l’affirmer.

    Pour le banquet 2015, notre président fera une mise au point claire et précise sur ce malentendu, et nous pourrons sereinement envisager cette rencontre annuelle pour le plaisir de tous.

    A nos amis anciens d’Alembert, Eugène et Bruno, je vous propose de rencontrer notre président avec d’autres membres du CA et de l’association (je ferai le déplacement si nécessaire). Cela permettrait de mieux se comprendre et, tous les anciens seraient ravis de savoir votre démission annulée.
    Nous pouvons tous avoir des divergences, voire des « coups de gueule », mais nos valeurs d’estime et de respect, doivent nous permettre de dépasser ces difficultés passagères.
    Les différences de chacun d’entre nous, sans exclusive, forment le ciment de notre association.

    Amicalement à tous.

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