Bonjour,
Je vous l’avais laissé entendre, si vous suivez au jour le jour l’actualité alembertine, nous devions nous rendre à Paris et aller à la rencontre de Jean-Claude et Josiane Cormier. C’est ce que nous avons fait dimanche 10 septembre, aux environs de midi, après avoir quitté le cœur historique de Paris (*) et le marché du XVIIIe arrondissement, là où réside ma génitrice…
Quelle alacrité de retrouver Jean-Claude et Josiane chez eux, depuis tout ce temps. Sans fanfaronnade, je peux vous témoigner que le plaisir était partagé, les mots sont bien dérisoires pour exprimer cet indicible bonheur — même éphémère — d’une telle retrouvaille !
Josiane et Jean-Claude avaient insisté, à plusieurs reprises, pour que nous déjeunions, accompagnés du couple Bur, en leur compagnie. Nous avons eu plaisir à partager une excellente paella et de bons produits, dans une ambiance pas vraiment morose. Jean-Claude nous a évoqué le banquet, les copains, la vie de l’association, son avenir, etc. Je peux vous exprimer qu’il est très à l’écoute et qu’il se tient informé de nos « péripéties » alembertines, c’est son ADN depuis plus de cinquante ans.
Notre présence a donné du baume au cœur tant à Jean-Claude qu’à Josiane… Pour preuve, l’ami Jean-Claude a évoqué mezzo voce sa présence et celle de Josiane au banquet de 2018, ce qui serait super, même si nous n’en sommes pas encore là. Nous avons allégué sa venue dans l’Allier, au mois d’octobre, pour une cure spécifique de trois semaines. Il m’a « autorisé » à l’évoquer et me tiendra informé de l’évolution de cette cure bourbonnaise.
Nous sommes restés jusqu’à 18 heures en compagnie de nos deux amis, pour notre plus grande joie. Lors du départ, l’émotion était perceptible, elle se lisait dans leurs yeux quelque peu humides. Je suis assuré que cette visite a fait du « bien » à Jean-Claude, mais parallèlement à Josiane qui, elle aussi, a besoin d’apaisement et d’échanges avec des « connaissances » alembertines, ce qui, hélas, est de plus en plus rare, euphémisme !
Ma chère Josiane, mon ami Jean-Claude, avec Marie-Thé, Chantal et Dominique, nous avons été très honorés d’avoir eu la chance de partager ces quelques heures en votre compagnie et cet instant fraternel tous ensemble. En ce qui nous concerne, avec Marie-Thé, il est d’ores et déjà acquis que nous nous reverrons au mois d’octobre, dans l’Allier. Continuez à prendre soin de vous et à positiver, c’est primordial. Quant à nous, nous pensons bien à vous, vous pouvez savoir compter sur notre disponibilité, notre amitié indéfectible et notre bienveillance de chaque instant.
Amitiés à vous deux.
Guylem Gohory (au nom de Marie-Thé, Chantal et Dominique)
(*) Samedi, nous avions un autre grand rendez-vous que je vous évoquerai ces prochains jours.