Tous les articles par Guylem Gohory

La fratrie Renault présente ses bons voeux

Bonjour Guylem et Marie Thé,

Je viens vous souhaiter une bonne Année 2018 ainsi qu’a toute la Famille Alembertine en espérant qu’elle finisse moins tristement que celle que nous quittons. Nos pensées vont particulièrement à toutes nos Sœurs et nos Frères qui se sont retrouvés seuls en cette fin d’année. Pour nous, ce fut un repas familial moins 10 personnes de province pour oublier les deux derniers mois.

Nous vous embrassons ainsi que toute notre grande famille d’Alembert.

Jeannette et Bernard Renault

Ci joint 2 photos de notre famille :

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Hommage à l’ami André Moutote

Bonjour,

Après avoir, volontairement, attendu que les fêtes de Noël soient derrière nous, je vous joins un petit hommage personnel, à la mémoire de notre ami André Moutote qui vient de nous quitter, à l’âge de 83 ans. Ce texte n’a aucun caractère officiel, n’étant pas le plus qualifié ni le plus légitime pour écrire la nécrologie « autorisée » ! Vous êtes un certain nombre de copains à l’avoir beaucoup mieux connu — et beaucoup plus longtemps — que moi, c’est une certitude.

En cette période chargée en émotions, souvenirs et vœux en tous genres, permettez-moi d’avoir une pensée pour celles et ceux qui nous ont quittés. Une pensée pour toutes ces familles qui sont dans la douleur de la perte d’un être cher, un mari, une épouse, un fils, une fille, un père, une mère, un frère, une sœur, un papy, une mamie, un tonton, une tata, etc.

Je voudrais, personnellement, que l’on n’oubliât pas celles et ceux qui souffrent, tant physiquement que moralement. Celles et ceux qui seront seul(e) s durant les fêtes, sans personne à qui parler, sans personne avec qui partager quelques instants de bonheur, même éphémère. Une pensée, si vous m’y autorisez, pour tous ces enfants qui seront abandonnés, sans repères familiaux, ces parents isolés, toutes ces personnes en détresse morale… Toutes celles et ceux qui n’attendent plus rien du Père Noël, sinon un regard compassionnel et juste un peu de chaleur humaine.

À toutes et tous, je souhaite de passer de bonnes fêtes de Nouvel an, en espérant que vous serez nombreux à vous retrouver en famille et/ou entre amis. Surtout, je forme le vœu que, parmi vous, personne ne restât seul, même si je sais que ce n’est là qu’une chimère !

Confraternellement à toutes et tous ainsi qu’à vos familles.

Guylem Gohory (président des anciens d’Alembert)

Cliquez sur le lien ci-dessous pour lire le petit texte dédié à notre ami :

HOMMAGE A L’AMI DEDE MOUTOTE

Joyeux Noël à toutes les familles d’Alembert

Bonjour,

Je sais que vous ne croyez plus au petit bonhomme rouge à la longue barbe blanche, le dos ployé par les ans, sous sa grande hotte emplie de cadeaux pour les petits et les grands, surtout ceux qui ont été bien sages.

Je sais, ce n’est un secret pour personne, qu’au fond de votre être, vous avez gardé votre âme de gosse… Certes la vie ne fait pas toujours de cadeau ! Vous ou moi, nous ne sommes pas toujours un cadeau pour les nôtres.

Je fais appel à l’enfant caché qui vit en vous, afin de vous inviter à passer le plus beau des Noëls. Que ces quelques mots vous ramènent au pays de votre enfance. Et que le petit Papa Noël vous apporte les plus beaux cadeaux du monde : l’Amour, la Joie, de doux moments en famille et pleins de belles choses à partager entre vous. N’oublions pas d’avoir une pensée pour celles et ceux qui nous ont quittés et celles et ceux qui souffrent et qui resteront seuls, sans cadeaux, sans ne rien trop manger et où ne pas savoir forcément où dormir !

C’est Noël… Souriezrêvezdonnezpartagez, faites des vœux. Le temps est venu de croire en la magie des jours de fête… Jingle bells, jingle bells !

Joyeux Noël à tous et à toutes…

Marie-Thé et Guylem Gohory

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Atout Cœur : Noël festif et généreux « Chez Jenny »

Bonjour,

Comme le veut la tradition, Danielle Weber, la présidente de l’AEPAPE Atout Cœur, aidée par les membres du bureau, avait convié les adhérents à se retrouver « Chez Jenny », 39, boulevard du Temple, Paris-IIIe, un restaurant de spécialités alsaciennes. Le but avoué, en cette période de l’Avent, étant de partager un excellent repas (choucroute party !) en attendant l’arrivée du Père Noël, en fin de repas, pour le plus grand bonheur des enfants présents qui, naturellement, n’attendaient que cela.

Cette année, avec Marie-Thé, nous avions décidé, eu égard au dévouement et au travail au service des bonnes causes de la part de Danielle, d’honorer de notre présence ce rendez festif et solidaire. Après un voyage galère en « Ouibus » de près de… 9 heures, depuis Clermont jusqu’à la gare de Bercy, le samedi, nous avons pu nous reposer le samedi soir pour être sûr de pouvoir être en forme et à l’heure le dimanche midi.

À l’heure dite, beaucoup de monde, notamment la sœur et la petite-fille de Danielle, des adhérents parisiens et quelques anciens de Le Nôtre. Quant à nous, à ma grande surprise, nous étions bien représentés. Il y avait là Magda et Richard Rosso, Jean Jacinthe et sa compagne, Jean Scherrer, Richard Balac, Gérard Riellant, Marie-Thé Gohory et votre serviteur. Seule ombre au tableau, manquaient à l’appel les familles Cormier et Renault, fidèles parmi les fidèles depuis toujours.

Comme nous étions une bonne « tablée » d’Alembertins, nous n’avons pas résisté à entonner un vibrant « A la santé du confrère » en l’honneur de tous les amis présents et en hommage à nos chers disparus. Le repas s’est déroulé dans une ambiance bon enfant, au son de musiques variées et de quelques karaokés, qui ont donné à toutes et tous l’envie d’avoir l’envie !

Au moment du dessert, dans l’encadrement de la grande porte, c’est l’instant choisi par un imposant Père Noël, à la longue barbe blanche, traînant son « vieil âge » et sa hotte surchargée de présents de faire son apparition, sous les vivats des enfants et les hourras de la foule en liesse ! Diantre, mais l’allure débonnaire de ce bon Papa Noël ne m’était pas inconnue… Il se murmurait dans le Landerneau, dans une autre vie, qu’il aurait pu convoler en justes noces avec une dame d’origine hongroise… qui, depuis, lui aurait fait, à plusieurs reprises, le coup du Hongrois !

Ce Richard Noël a su se montrer généreux envers tous ces enfants qui sont repartis les bras chargés de cadeaux. À la suite, une grande tombola a continué à animer l’après-midi. Comme toujours, il n’y a que des gagnants, les perdants ne se faisant jamais connaître ! Les gros lots ont été trustés par la femme du vice-président de Japy (un superbe aspirateur) et par Jean Jacinthe (une magnifique friteuse).

Peu après 18 heures, tout le monde a pris congé, se promettant de se revoir qui à Japy, qui à Montévrain, qui dans le Morvan, etc. Avec Marie-Thé, nous sommes allés avec Danielle, rue Japy, accompagnés de quelques membres et amis de Le Nôtre. À l’occasion, nous avons partagé le verre de l’amitié, car la veille, le vendredi 17 décembre, c’était l’anniversaire de tata Danielle (le même jour, pas la même année, que mon fils Benjamin).

Nous en avons profité pour évoquer les problèmes ici ou là et la problématique liée à l’octroi des subventions eu égard à la pingrerie et au mépris flagrant de la Ville de Paris envers l’association Atout Cœur. Pour information, il faut que vous sachiez qu’en 2012, Danielle recevait 90.000 € de subvention, 35.000 € en 2015 et… 15.000 € en 2017. Quant à nous, ils ne prennent plus le temps d’ouvrir la demande, elle reste systématiquement à l’état « En attente ». Hélas, les élus n’ont que faire de ces associations « humanitaires », leurs intérêts sont ailleurs, tournés vers des « choses » plus nobles que nos associations, qui n’ont plus le moindre intérêt pour eux, c’est une évidence 

Le lundi, avec Marie-Thé, nous avons joué les touristes parisiens, pour « tuer le temps ». Nous sommes allés dans le XVIIIe, chez ma mère, puis à Montmartre, avant de filer au « Stop Cluny » dire bonjour aux Alembertins de cœur, les patrons de l’estaminet. Nous avons pu, enfin, regagner nos pénates auvergnats, à 21 heures, par le rail, cette fois-ci, ce qui a été beaucoup moins long, même si c’est toujours trop, d’autant plus que les trains sont rarement à l’heure sur ce trajet !

Encore une bonne rencontre festive, sous le sceau de la fraternité, entre frères et sœurs de cœur. Nous en avons profité pour donner rendez-vous aux Alembertins et à Danielle, le samedi 20 janvier, au « Vieux Théâtre », à Montévrain, pour participer à un petit CA open et, surtout, au repas fraternel prévu pour entamer la nouvelle année sur de bonnes bases, en espérant que 2018 sera meilleure pour la santé de nombre d’entre nous.

Confraternellement et bonnes fêtes de fin d’année à toutes et tous et à tous les vôtres.

Guylem Gohory (président des anciens d’Alembert), pour l’amie Danielle Weber (présidente de l’AEPAPE)

N’oubliez pas de cliquer sur le lien ci-dessous pour visionner les photos :

Noël de Japy – Décembre 2017

 

Rubrique d’une passion tardive

Il ne s’agit pas ici de vendanges tardives mais de la passion du bricolage. Je suis curieux de tout et chaque appareil qui tombe en panne est démonté pour une tentative de réparation avant d’être jeté. Parfois je suis étonné de constater que l’appareil fonctionne à nouveau, mais il arrive aussi de me retrouver avec des pièces et des vis en trop, alors là, c’est la cata et il n’y a plus qu’à se précipiter chez Darty ou Boulanger.

Autrefois, lorsque la Papauté était très influente en Europe, l’expression « tous les chemins mènent à Rome » était fréquente. Aujourd’hui, l’expression est toujours utilisée pour exprimer une passion autre que celle de sa profession.

Aujourd’hui, je reprends cette expression pour dire que l’ébénisterie peut encore mener, d’une façon tardive en ce qui me concerne, à la lutherie. En effet, le violoncelle de ma petite-fille a, par inadvertance, rencontré le coin d’un mur en béton. Le mur a résisté mais le bras du violoncelle s’est brisé au ras de la caisse.

N’ayant aucune connaissance dans ce domaine mais toujours d’une nature curieuse, j’ai commencé par examiner de près, comment était conçu l’instrument, afin de trouver une solution pour le réparer. Travail délicat, car c’est avec une fine lame de scie que j’ai réussi à enlever le dessus de la caisse pour accéder à l’intérieur et réparer le bras.

Je passe sur les détails mais le violoncelle a bien été restauré et la caisse de résonnance a retrouvé toute sa tonalité. Raccordé ensuite par le prof de musique, il fonctionne à nouveau très correctement. Certains vous diront, je n’y connais rien, donc je n’y touche pas.

Cette restauration réussie me conforte une fois de plus en pensant qu’il faut savoir oser, et ne pas hésiter à se lance (ci-joint une photo du violoncelle en cours de restauration).

Ma petite histoire n’a qu’un seul objectif, mettre une « note » d’optimisme et de gaieté sur les ondes de notre site qui en a besoin en ce moment.

Bonne fête de Noël et meilleurs vœux de bonheur et santé pour 2018 à tous et à toutes.

Camille Consalvo

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Les associations et celle… d’Alembert !

Il m’est souvent donné d’évoquer, avec des collègues et amis, d’autres associations – anciens combattants principalement – ce qu’est la nôtre. Beaucoup sont surpris par le succès qu’elle connaît, par sa longévité, par ses manifestations : banquets ou autres et par le nombre de ses adhérents. Notre fratrie ne manque pas de les intriguer, tous ne croyaient pas possible que des anciens Pupilles de l’A.P. puissent en arriver là (rappelez-vous lorsque nous étions gosses bien peu de ces gens auraient parié sur nos chances de réussir).

Mais voilà, aujourd’hui l’Association des Anciens Élèves d’Alembert existe bel et bien, de nombreux camarades l’ont portée à bout de bras, se sont investis pour qu’elle perdure. Des noms, me direz-vous : je ne citerai que des gens vivants : hommage donc à Henri Wiszniack, Jacques Tiriou, André Auriol mais, aussi André Moutote (hélas décédé depuis), Francis Fidelaine, Alexandre David, Jean-Claude Cormier, Marcel Méheust, Marc Jampolski, Jacky Dubois et la bise à ceux que j’ai oubliés, à tous ceux qui furent les piliers de l’ancienne Mutuelle… C’était leur propriété. Ils ont transmis le flambeau à une génération plus jeune, emmenée par Guylem Gohory qui a hérité de la lourde succession avec pour mission de la faire prospérer, pour autant que cela soit possible.

Il faut admettre, cependant, que toutes les associations souffrent des mêmes maux : l’indifférence, la désaffection et l’érosion. Dans l’euphorie d’un banquet ou d’une réunion d’aucuns s’inscrivent puis, le temps aidant, ils disparaissent, ne cotisent plus, ignorent les relances. Il y a aussi ceux qui, inexorablement, vieillissent, quelques fois malades, deviennent veufs ou veuves, s’enferment dans leur solitude, s’isolent, ceux qui oublient d’où nous venons, perdant de vue cette camaraderie qui nous unissait.

Et puis, et surtout, nous n’avons pas tous la chance d’avoir une épouse ou une compagne qui adhère, de grand cœur, à cette fratrie et accepte de chanter le « À la santé… » entre femmes, au Banquet du Morvan. N’oublions pas nos belles-sœurs Alembertines, certaines ont joué un grand rôle dans tout cela.

Issu de l’ancienne génération, André Moutote a fait un travail considérable pour faire adhérer de nombreux camarades, beaucoup de sa promo. Hélas, ils disparaissent un à un, l’âge aidant. Guylem, lui aussi s’attache, avec succès, à étoffer nos effectifs, avec des gens plus jeunes donc, cela nous permet d’espérer.

Nous savons tous qu’un jour l’Association s’éteindra, faute d’effectifs, souhaitons que ce soit le plus tard possible.

Au fait, toi qui me fais l’honneur de me lire, es-tu à jour de tes cotisations ? Non ! Alors fais tout de suite un chèque à notre Président. Il ne manquera pas de te remercier.

Je ne voudrais pas terminer sans avoir une pensée amicale pour tous nos camarades que la maladie éloigne de nous, pour tous ceux qui souffrent ou qui sont seuls. Les Alembertins ne vous oublient pas et vous souhaitent de joyeuses fêtes de fin d’année.

Georges LAZ

GEORGES LAZ

Les obsèques du « Grand Dédé » Moutote

Bonjour,

L’ami Gérard Riellant (que je remercie chaleureusement au passage) m’a fait un résumé exhaustif de la cérémonie corrélative aux obsèques de notre ami et regretté André Moutote (« le Grand Dédé »), qui se sont déroulées sur la petite commune de Perrière (Orne), le lundi 11 décembre 2017, à 14 h 30, sous une véritable tempête.

Les nombreux Alembertins présents (*) ont déjeuné ensemble, en compagnie de la famille Moutote, au sein du restaurant du village. Lors de la cérémonie, en l’église de la commune, d’autres Alembertins sont venus s’adjoindre à la « bande des d’Alembert » pour rendre un ultime hommage à notre frère « Dédé ».

La cérémonie a été chaleureuse et fraternelle, tout en restant sobre. De nombreux hommages ont été lus, notamment par sa fille et sa petite-fille, le tout accompagné de musiques diverses, Cathy et Alain Fleury ayant, à l’occasion, apporté leur guitare.

Au cimetière, lors de l’ultime hommage, de nombreuses gerbes ont été déposées, notamment celle des « AMIS D’Alembert » ainsi que notre traditionnelle plaque des anciens de l’école éponyme.

Cathy, la fille de « Dédé » et Madeleine, a sollicité la troupe alembertine pour qu’elle entonnât notre « chant de ralliement », notre célèbre « A la santé du confrère ». Après une petite explication de texte connexe à cette romance qui a traversé les siècles, c’est l’ami Henri Wiszniak, présent lui aussi, qui a donné le « la », avant que ne retentisse ce vibrant et émotionnel « A la santé du confrère ». Pour l’occasion, Madeleine et les Alembertins faisaient un cercle autour du cercueil, ce qui a « donné » encore plus de solennité à ce poignant et final hommage à notre ami « Dédé ».

Madeleine et la famille d’André (voir le message de Charlène, sa petite-fille) étaient contentes et émues de la présence de tous ces Alembertins. Madeleine et la famille tiennent à remercier chaleureusement la fratrie alembertine, tant pour leur présence que pour tous leurs messages et autres témoignages.

(*) Assistaient aux obsèques : Janine et Sylvain Claude, Catherine et Gilles Beignet, Michel Bertrand, Francis Fidelaine, Cathy et Alain Fleury, Paulette et Jean-Claude Forget, Noëlle et André Germain, Gérard Le Bail, Any et Jean-Marc Lhélias, Colette et Gérard Riellant, Jean Scherrer et Henri Wiszniak.

Permettez-moi d’avoir une pensée pour tous les autres copains qui nous ont quittés cette année : Christian Aubier, Serge Corson, Philippe Fougereau, Michel Lagarde, Bernard Landais, sans oublier le fils de nos amis Monique et Henri Casaus.

Confraternellement à toutes et tous et une pensée à nos malades et à celles et ceux qui souffrent.

Guylem Gohory

ANDRE MOUTOTE

Quand un ami nous quitte

Tout commence par un coup de fil qui vous annonce la disparition d’un ami, d’un frère. D’abord une forme d’incrédulité s’empare de vous, une profonde tristesse vous étreint, les mots vous manquent, l’affliction vous gagne.

Rassurez-vous, je ne viens pas vous parler de cette vedette de la chanson dont la disparition est exploitée souvent à des fins quelque peu mercantiles… NON, nous, les d’Alembert pleurons notre inoubliable André MOUTOTE.

J’ai eu la chance de connaître le « Grand Dédé » pendant une année à d’Alembert, c’était un garçon charmant, toujours prêt à taquiner les « bleus », à leur chercher des noises, à leur faire des blagues, mais jamais, au grand jamais il n’y eut une once de méchanceté, à ma connaissance pas un jeune de première n’eut à se plaindre de lui.

Quelques années plus tard il se fit remarquer par son implication de tous les instants au sein de notre Association. Il entreprit de nombreuses recherches auprès de divers organismes pour retrouver des amis dont nous étions sans nouvelles. Le nombre de camarades qu’il fit adhérer est impressionnant et cela en toute modestie. Un jour je lui fis remarquer une injustice flagrante, notre camarade Pierre ERUITZ, mort pour la France en Algérie, ne figurait pas sur le Monument aux Morts dans la Cour d’Honneur de l’école. Peu de temps après, grâce à son énergique intervention l’oubli étai réparé. André MOUTOTE était et restera un exemple pour nous tous.

Bien entendu, il ne faut pas oublier d’associer à tous les hommages rendus au « Grand Dédé »’ son épouse Madeleine, elle aussi d’une gentillesse indescriptible, d’un courage fabuleux. L’année 2017 aura été une rude épreuve, une succession de deuils cruels.

À Madeleine et à sa famille je veux présenter mes condoléances attristées, je sais qu’elle pourra compter sur le soutien indéfectible de tous les membres de notre Association. Courage Madeleine, tu n’es pas seule.

Comme les pires nouvelles n’arrivent jamais seules, il nous faut ajouter celle qui a frappé notre ami Henri CASAUS. En effet Henri vient de perdre son fils PIERRE-HENRI, âgé de seulement 47 ans, les obsèques ont été célébrées à Marseille le 5 décembre 2017. Monique et Henri sont très abattus par cette disparition. Hélas, nous ne pouvons que leur présenter nos condoléances les plus sincères et les assurer de toute notre amitié. 

Georges LAZ

 

Messages en hommage à André Moutote

Bonsoir Guylem,

En rendant un hommage à notre camarade André Moutote, je remarque que tu fais référence à Johnny Hallyday qui vient de disparaitre également. C’est très bien car je pense que tu es le mieux placé pour lui rendre un hommage au nom de tous les anciens d’Alembert.

J’ai côtoyé André pendant deux ans à l’école et j’ai toujours apprécié sa gentillesse, même beaucoup plus tard quand nous nous retrouvions lors des réunions et des repas comme celui du 11 novembre 2016 où j’étais assis près de lui.

C’est toujours triste d’apprendre le décès d’un ancien camarade mais, malheureusement, ou heureusement, c’est selon ?…  Les humains ne sont pas éternels comme les héros légendaires.

Pour reprendre le poème de Paul Verlaine, nous sommes comme les feuilles mortes que le vent mauvais emporte en automne.

Sincères condoléances à l’épouse d’André et à sa famille.

Amitiés à tous.

Camille CONSALVO

 

Madeleine,

Nous venons te présenter toutes nos sincères condoléances en ces moment très tristes et douloureux, nous serons par la pensée de tout cœur avec toi et la famille lundi pour le dernier voyage de notre grand et gentil Dédé.

On t’embrasse fort.

Famille GODDEFROY (la Puce)

 

Bonjour Guylem,

 Je dois dire que la nouvelle du décès d’André Moutote nous attriste particulièrement. En temps qu’épouse, j’ai un peu de mal à retenir les noms des Alembertins ou à mettre un visage sur un nom. André est un de ceux que je connais.

A chaque banquet, j’ai toujours eu beaucoup de plaisir à échanger avec André, toujours attentif à chacun, souriant et positif même cet été malgré tout ce qui le faisait souffrir. Je peux dire la même chose de Madeleine à qui nous adressons nos sincères condoléances.

La semaine dernière, nous avions particulièrement pensé à André et Jean-Claude avait dessiné pour lui. Lundi, nous essaierons d’être présents.

Bien amicalement

Jean-Claude et Paulette FORGET

 

Bonsoir Guylem,

Beaucoup de Français ont perdu une icône, mais nous, les Alembertins avons perdu un grand homme au sein de notre grande famille. Pour lui, la presse ne fera pas d’éloges, mais nous, nous savons combien cet Homme a œuvré pour notre association !!!!!!!!

Je voulais savoir si tu allais participer à ses obsèques ? De mon côté je vais contacter Richard et Francis pour savoir si nous pourrions y assister vu notre proximité de domicile. Je te tiendrai au courant.

Patrick GINESTET

 

Bonjour Madame MOUTOTE,
Nous avons appris avec une grande tristesse, par Guylem,  le décès de votre mari André, nous vous priions de trouver ici toutes nos condoléances.
Nous avions particulièrement apprécié votre gentillesse à tous deux et son dévouement pour son son copain Eruitz dont nous avions retrouvé la trace lors de nos recherches sur les anciens de d’Alembert décédés  lors des guerres qui ont émaillé le 20ème siècle.
Recevez chère Madeleine toute notre affection, nous vous souhaitons d’avoir le courage nécessaire que vous trouverez sans doute auprès de vos proches pour affronter ces moments difficiles.
Colette et Santos RAMOS

 

Guylem, 

Nous regrettons de ne pouvoir nous rendre aux obsèques de notre frère alembertin, mais comme toi et Marie-Thé, 1.500 km, compte tenu de l’état de routes, je ne me sens pas capable d’assurer cette distance en si peu de temps, car Josette avec ses graves problèmes de vue, ne peut pas conduire.
Nous présentons nos sincères condoléances à la famille de Dédé.
Amitiés alembertines.
Josette et Jean-Robert CHARPENTIER

 

Boujour Guylem,

c’est avec tristesse que nous renonçons à assister aux obsèques de notre Regretté Frère et grand ami Dédé, mais nous n’avons pas la forme pour faire 350 km aller retour dans la journée. Présente nos condoléances à Madeleine et embrasse la très fort pour nous.

Nos Amitiés à tous les présents à la cérémonie.

Jeannette et Bernard RENAULT

 

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