« Mais que font les d’Alembert » ? « Je vais te le dire ! »

Bonjour,

DOMINIQUE ET CHANTAL BUR VIENDRONT EN EXCALIBUR

Mais que peut-il bien se passer du côté de Gurgy, sur les bords de l’Yonne ? Rien de bien spécial sous les tropiques gurgycois, il fait bon, même chaud, comme un peu partout dans l’Hexagone. Alors que dire, rien ? Mais si, réfléchissez ! Nos amis Dominique et Chantal Bur préparent, dans le plus grand secret, je le subodore, leur venue au banquet d’Alligny.

Je n’ai pas encore reçu le précieux sésame m’indiquant qu’ils seront bien présents. Mais nous ne sommes pas sans nouvelles, elles seraient même rassurantes, alors pas de quoi être tourmenté outre mesure. Petite entorse au protocole, ils ne viendront pas le vendredi soir. Ils préfèrent se réserver pour le samedi et le dimanche, afin de « péter la forme » durant ces deux jours.

Selon mes sources, ils devraient nous faire une « sacrée surprise » lors de leur arrivée à Alligny. Je ne vais pas vous laisser dans l’expectative plus longtemps, il faut que vous aussi vous soyez mis dans la confidence. D’ailleurs, je vous demande de leur réserver une arrivée triomphale, tels les gladiateurs dans l’arène, lorsque vous verrez se présenter à vous une Excalibur rutilante… Mes amis, vous ne rêvez pas, je dis bien une Excalibur, vous savez cette prestigieuse voiture créée à Milwaukee, en circulation entre 1965 et 1989 et qui a servi dans de très grands films, dont « Excalibur ». !

Le Dom et la Chantal, je ne sais pas pourquoi, semble être pris d’une répulsion envers Ford. Tout comme on change de chemise ou de chaussettes, ils ont pris la décision d’opter pour l’Excalibur de Bur… Pour l’occasion, pour être assortie, Chantal sera nimbée d’une robe de bure du plus bel effet, tout un programme !

AVEC LES BAZILE, RIEN N’EST FACILE

Si vous suivez le feuilleton des « Nouvelles d’Alembert », que j’essaie de vous retranscrire au jour le jour, je me suis lancé un grand défi. What ? Je parle, ici, des frérots Bazile, quelque peu fleur bleue. Cela n’a pas été simple de contacter Jean-Claude, mais j’ai réussi. Tout de go, il m’a énoncé qu’il n’y avait aucun problème, qu’avec son frère, ils viendraient à notre banquet. Je l’ai rappelé et, une fois encore, il m’a confirmé leur venue. Néanmoins, il m’a demandé le jour, le lieu et le toutim, comme la fois précédente… Je ne suis pas surpris, puisque c’est toujours comme cela avec les Bazile Brothers.

J’ai pris « le taureau par les cornes », n’étant pas convaincu de leur venue, ils m’ont déjà fait le coup les deux années précédentes ainsi que pour le 11 novembre. J’ai sollicité Jean-Claude pour qu’il m’envoie impérativement un chèque cette semaine, condition sine qua non pour que leur inscription soit prise en compte. Bingo ! Samedi midi, j’ai reçu le chèque de Jean-Claude, « garantissant » leur venue avec son frère Alain ainsi que celle de son fils qui les conduira à bon port, puisque ni l’un ni l’autre ne conduisent. A priori, ils n’ont prévu de rester que pour le déjeuner.

À toutes fins utiles, je vais envoyer un courrier à Jean-Claude, où j’inscrirai le jour et le lieu du banquet et tous les renseignements idoines ainsi que mes coordonnées. Je le rappellerai la veille du banquet pour être sûr que nous puissions compter sur eux pour midi. J’avoue que je ne suis pas mécontent, dans mon for intérieur, d’avoir insisté « lourdement », espérant ainsi les récupérer à l’association, alors qu’ils allaient être rayés de nos tablettes, ce qui eut été dommage, puisque ce sont deux copains supers sympas, juste un « peu négligents ».

AVEC MICHEL DE JOIE, CE N’EST PAS LA JOIE

Je vous avais invoqué le « cas » de Michel, qui réside dans la Nièvre, le fils de Jean, décédé à l’âge de 101 ans, alors qu’il était à la maison de retraite de Guérigny, avec son épouse, elle aussi décédée. J’avais réussi à faire adhérer notre ami Michel, en mémoire de son père, un fidèle Alembertin durant des décennies, aux desseins de notre association.

J’ai profité de l’aubaine, à savoir que le banquet se déroule à Alligny, un lieu symbolique, chargé d’Histoire. J’ai spéculé que c’était là l’opportunité pour que Michel se joigne à nous le 22 juillet. J’ai téléphoné à Michel au début juin pour le motiver et, surtout, l’inciter à retrouver la bande d’Alembertins, la « famille » de son père, un peu la sienne. Michel m’a signifié qu’il ne connaissait personne et que cela le gênait, à tel point que sa venue semblait rédhibitoire. Je l’ai rasséréné et tout de suite mis à l’aise, en lui indiquant que je le présenterai à l’aréopage, afin de le mettre en confiance, surtout faciliter son intégration. N’étant pas ingénu, j’ai compris que ce n’était pas gagné. Cependant, Michel ne m’a pas dit non, alors tout espoir était encore permis.

Après avoir espéré voire arriver son inscription qui, hélas, tout comme l’Arlésienne, de Bizet, ne m’est toujours pas parvenue, je l’ai rappelé pour m’enquérir de la situation. Michel m’a dit qu’il était « presque convaincu » de venir à Alligny mais… que, hélas, des amis les ont conviés à les rejoindre sur leur lieu de vacances et « ça tombe mal » puisque c’est la même semaine que notre banquet… Raté !

Michel m’a témoigné avoir visité le musée à plusieurs reprises, maigre consolation pour moi. Je suis un peu contrarié, j’aurais tellement aimé le faire venir au moins une fois à notre grand rendez-vous. Cette année, il me semble que tous les ingrédients étaient réunis, je crains que les prochaines années ce ne soit guère envisageable. Rassurez-vous, je ne laisse pas tomber l’affaire, je saurai le relancer au moment opportun… Comme chacun sait : « Les seuls combats perdus sont ceux que l’on ne mène pas ! ».

MONIQUE NOËL ET ROBERT POIVRET, C’EST NIET

Là non plus, ce n’était pas simple, même si j’étais convaincu qu’il y avait une petite lueur d’espoir. J’avais pris contact avec Monique Noël dès le mois de mai, avant de la rappeler en juin. Sachant que Monique habite à côté d’Alligny, j’ai spéculé qu’il serait agréable qu’elle puisse, pour une fois, se joindre à nous cette année. Là aussi, Monique était plus que circonspecte, elle m’a dit ne connaître ni ne voir plus personne, hormis l’ami Jean-Claude Cormier, avant que ses problèmes de santé le rattrapent.

Nonobstant, mes arguments ont semblé relativement convaincants, puisque Monique ne m’a dit non. Elle m’a même dit qu’elle essaierait de décider l’ami Robert Poivret à se joindre à nous. Certes, l’ami Robert, comme vous le savez, a quelques sérieux problèmes de santé, ce n’est vraiment pas évident. Il était convenu avec Monique, sous toutes réserves, qu’elle vienne, accompagnée de Robert.

Nous nous sommes téléphonés avec Monique, pas plus tard qu’hier, afin de savoir si « l’affaire était dans le sac ». Hélas, elle m’a signifié qu’il n’y avait rien à faire, Robert ne « comprenait » pas vraiment et il n’était pas décidé à nous rejoindre. Un ami de Monique et de Robert, de l’Assistance publique lui aussi, a insisté pour que Robert vienne. Rien, que nenni, a priori c’est niet ! Alors comme Robert ne veut pas venir, l’ami déclare forfait… Et comme Robert et l’ami ne viennent pas, Monique, elle non plus, ne veut pas venir, les désistements en « cascade », comme pour certains d’entre nous, quand un copain ne vient pas, l’autre le suit et ainsi de suite, hélas !

J’ai demandé à Monique qu’elle persiste ces prochains jours, on ne sait jamais. Je lui ai laissé jusqu’au début de la dernière semaine, je verrai avec le traiteur, mais je n’ai guère d’espoir. J’ai insisté pour que Monique vienne avec l’ami, mais là aussi c’est niet, si Robert ne vient pas. C’est pour cela que je vous disais, en préambule, que ce n’est pas toujours un long fleuve tranquille.

C’EST PRESQUE FINI, MAIS ON Y CROIT JUSQU’AU BOUT

Nous avons atteint la « date de péremption », mais j’ai repoussé cette dernière jusqu’au début de la semaine prochaine. Ce samedi soir, il me manque, selon mes prévisions, près de 20 à 30 inscriptions potentielles. Certes, je ne suis pas certain à 100 %, c’est un peu comme les promesses de dons.

Je suppute que je n’aurai pas tous les chèques en début de semaine prochaine. Néanmoins, il va falloir que je « boucle » le dossier. Je vais appeler les copains durant ces trois prochains jours, afin d’être en capacité, mercredi prochain, d’annoncer le nombre de convives à notre traiteur. Nous savons gérer à deux ou trois personnes près, c’est encore plus vrai pour le buffet, mais pas avec un delta de 15 à 20 personnes, ça, ce n’est pas possible.

Quoi qu’il en soit, je ne suis pas inquiet outre mesure, je reste confiant et, surtout, déterminé. J’augure que tout va bien se dérouler, il ne peut pas en être autrement, tout est fait pour qu’il en soit ainsi. Rassurez-vous, le banquet est sur de bons rails, rien ne le fera dérailler, l’arrivée en gare d’Alligny se fera sans embûche. Nous pouvons vous annoncer, hormis une tornade, que nous devrions profiter d’un excellent week-end, tous ensemble, à Alligny-en-Morvan. Tout comme Rousseau, je préfère avoir plus de doutes que de certitudes. Pour une fois, je vais faire une entorse au règlement, j’ai la CERTITUDE que ce sera une BELLE, une BONNE, une GRANDE, une MAGNIFIQUE JOURNÉE FRATERNELLE, mes chers ami(e)s alembertins !

Confraternellement à toutes et tous.

Guylem Gohory (président des anciens d’Alembert)

 

 

« As-tu des nouvelles des d’Alembert » ? « Oui, et toi » ?

Bonjour,

DOM ET CLAUDE STALIN PRÉSENTS DE BON MATIN

Je m’y attendais, mais comme un jeune enfant, un jour de Noël, devant ses cadeaux au pied du sapin, j’étais tout excité à l’idée de recevoir le saint Graal, l’inscription officielle du couple de Pornic, la famille Stalin himself.

Remarquez, j’essaie de vous la jouer en mode « Hitchcockien », alors que je m’étais prémuni, en ayant pris soin de m’entretenir avec Claude voilà déjà plusieurs semaines. J’étais dans l’expectative, quant à savoir si, cette année, nous pouvions compter sur leur présence, sachant que l’an dernier ils nous avaient fait une petite infidélité. Mé gâmings, y peû vau diau qu’sau fé d’peu aussedeû (mes gamins, je peux vous dire que c’est fait depuis aujourd’hui), puisque le chèque a franchi allègrement, le seuil de notre antre, à Montrodeix, mercredi.

Je ne sais pas si notre Guillaume Tell alembertin viendra avec son équipement d’archer (type), mais je suis en capacité de vous aviser qu’il nous offrira une nouvelle activité. Mais chut, c’est une surprise, il m’a fait promettre de n’en rien dévoiler avant le samedi 22 juillet, jusqu’à 16 h 30.

Avec la certitude de la venue de notre pointeur préféré de Pontcarré et notre archer émérite du Clion-sur-Mer, nous sommes patents de passer une bonne fin d’après-midi digestive. Attention, à défaut de la perdre ou de « les avoir », n’oubliez pas d’apporter vos boules… de pétanque !

SYLVAIN ET JEANINE CLAUDE PRÉPARENT LEUR VENUE

Je ne vais pas vous cacher j’étais très pessimiste, je craignais que nous dussions nous passer de la présence de la famille Claude. Ce n’était pas une lubie, j’avais de bonnes raisons d’être circonspect. N’y tenant plus, j’ai donc rappelé Sylvain mardi soir, en espérant que la bonne nouvelle tant espérée me soit annoncée !

J’ai douté quand Jeanine m’a donné une petite information qui me semblait ne pas aller dans le sens de l’Histoire. Alors ? Après avoir tout ouï, le sourire à la commissure des lèvres m’est revenu. Normalement, hormis un tsunami en Seine-Saint-Denis, le couple — Monsieur et Madame Claude, pour l’état civil — sera présent parmi nous, à Alligny-en-Morvan, Sylvain devrait m’envoyer prochainement son inscription.

Heureux que soyez une fois encore des nôtres, même si tout n’est pas simple pour vous comme pour certains autres copains. À cet égard, lors des nombreux appels, je « capte » beaucoup d’informations, j’apprends parfois des nouvelles un peu plus personnelles. Nonobstant, je ne relaie pas tout systématiquement, tant s’en faut. Je ne le fais qu’en parfait accord (sans, toutefois, entrer dans les détails), avec les personnes concernées. Si, par le plus pur des hasards, vous apprenez des informations privées que je n’ai pas diffusées, ne vous en offusquez pas, c’est selon les desiderata des personnes… C’est le cas, actuellement, pour trois familles avec qui je reste en contact périodique.

LE « PIOU PIOU », CHRISTIAN OPIOLA, SERA BIEN LÀ

Ce n’était pas joué d’avance, il y avait beaucoup d’incertitudes, pour ne pas dire une très forte probabilité pour que Christian et Nadine, sa compagne, ne soient pas à Alligny. Autant vous dire que j’étais contrit, sachant que ce sont quasiment des enfants du pays, notamment le « Piou Piou », un chtiot gârs de Plainefas, commune de Saint-Martin-du-Puy, dont il est le premier adjoint au maire, comme avant lui, un « certain » Christian Aubier. Il était logique que je pusse escompter leur présence, sachant qu’à l’impossible nul n’est tenu, surtout pas pour le « Piou Piou ».

Nouvel appel ce jeudi matin à notre ami pour tenter d’arracher la décision, c’est un peu comme au Loto tous les gagnants ont tenté leur chance… La roue de la fortune a tourné, me semble-t-il, puisque le « Piou Piou » m’annonce, sans même m’y préparer, qu’ils seront bien présents à Alligny. Ils viendront en camping-car, n’ayant pas réservé d’hébergement, puisqu’ils ne savaient pas s’ils allaient venir. Il m’a promis de m’envoyer son inscription rapidement. Ouf, je ne suis pas mécontent d’avoir décidé nos amis à nous rejoindre, j’aurais été déconcerté si tel n’avait pas été le cas, je crains même que je me sois jeté dans le puits de la Beurnotte.

LA FAMILLE BEIER ME CONFIRME SA VENUE

Il était prévu de longue date que Jean-Claude et Annie fussent des nôtres, mais à ce jour, comme je n’avais toujours pas vu son nom sur ma check-list, une certaine forme d’inquiétude a commencé à m’envahir, en clair que le doute m’habite. Certes, par un secret éventé par la tenancière de « l’Auberge du Morvan », à Alligny, je savais depuis longtemps que le couple avait réservé une chambre pour le samedi soir.

Comme nous sommes vraiment dans la dernière ligne droite et que beaucoup d’inscriptions ne me sont pas parvenues (nous sommes 94 ce jeudi 6 juillet), je continue à faire le « tour des popotes » afin d’être en capacité d’annoncer un nombre précis – ou supposé tel – au traiteur dès la semaine prochaine.

J’ai « bigophoné » à l’ami Jean-Claude, que j’ai eu la malveillance de réveiller en pleine sieste. C’était pour la bonne cause, vous l’avez compris ! Il s’agissait pour mézigue d’avoir des nouvelles, surtout savoir si leur venue était toujours d’actualité. Tout de go, il m’a rassuré en me disant qu’ils seront bien présents, m’annonçant qu’il allait m’envoyer son chèque « incessamment sous peu » ! Jean-Claude m’a confirmé qu’il « pétait la forme », alors que très bientôt, il va lui aussi entrer dans le club « pas si fermé que cela » des octogénaires. Jean-Claude et Annie, après avoir fait un petit crochet chez leur fille, du côté de Montargis, viendront le samedi matin et resteront sur place le samedi soir, bien évidemment.

Content mes chers amis des Hauts-de-France, qu’une nouvelle fois, vous puissiez être des nôtres à Alligny, le berceau du Morvan, là où se trouve, dorénavant, notre maison, le musée des nourrices du Morvan et des enfants de l’Assistance publique.

ROGER HULEWICZ, LE BASQUE BONDISSANT, SERA ABSENT

Ce n’est pas une surprise à proprement parler, puisque le couple Hulewicz n’est pas souvent présent à notre rendez-vous étésien. J’ai tenté une dernière pirouette, mais je savais que cela s’apparentait à un coup d’épée dans l’eau. Roger m’a confirmé qu’il ne serait pas à Alligny, comme je m’y attendais. Il m’a donné la raison, la même chaque année : « Guylem, je te l’ai déjà dit, la date du banquet ne nous convient pas, car la période des vacances est celle (privilégiée) des petits-enfants… Il faudrait faire le banquet en dehors des périodes d’été » !

Je crains fort que si nous faisions le banquet en mai, en juin ou en septembre, que nous rencontrions d’autres problèmes et que cela ne doive pas changer grand-chose. Nous avons évoqué, avec Roger, les copains Jean-Claude Cormier, André Auriol (son voisin) et le Grand Dédé Moutote. Désolé Roger et Françoise, que vous ne soyez pas des nôtres, vous allez nous manquer.

DERNIÈRE MINUTE : DOMINIQUE ET FRANÇOIS MAINEZ FORFAITS !

Ce n’est qu’une demi-surprise, puisque je m’étais « entretenu » avec Dominique au début du mois de juin et elle m’avait laissé entendre qu’elle n’était pas certaine d’être présente au banquet. Pourtant, avec son mari François, ils avaient prévu de venir avec Danièle Grignon, la veuve de Thierry, ancien éducateur à d’Alembert qui, hélas, nous a quittés voici quelques mois.

Ce matin, elle m’a confirmé, avec regrets, qu’elle ne pourrait pas venir à Alligny le 22 juillet pour des raisons indépendantes de sa volonté, dont je m’interdis de relayer sur le site, bien évidemment. Je ne peux que regretter leur absence, sachant que nous aurions pu faire la connaissance de Danièle Grignon. Dominique m’a dit que ce n’était que partie remise et que, dès l’an prochain, sauf cas de force majeure, nous pourrons compter sur leur présence.

DÉBRIEFING BANQUET

Je continue, bien évidemment, à appeler les uns et les autres. Selon mes appréciations statistiques et prévisionnelles, j’augure que nous sommes encore loin du compte, du moins je le jauge, à l’aune de ma vieille expérience en la matière.

À mon humble avis, je n’ai pas reçu tous les bulletins de participation, c’est une certitude. Normalement, la date butoir était fixée au vendredi 7 juillet. J’ai reporté l’échéance au 12, afin de laisser aux indécis ou aux « étourdis » un délai supplémentaire pour s’inscrire. Je vous l’ai dit, nous sommes 94, ce qui ne correspond pas vraiment aux projections, même si, hélas, beaucoup de copains ne peuvent plus venir. Je suppute qu’il manque entre 25 à 40 personnes. Il est vrai que bon nombre d’entre vous m’ont dit qu’ils ne prendraient leur décision qu’au tout dernier moment, alors il ne faut pas désespérer.

Par contre, il y a un impératif incontournable, c’est le traiteur que l’on ne peut pas prévenir la veille. Il est de bon aloi de lui laisser une bonne dizaine de jours pour passer ses commandes en corrélation avec le nombre de convives, vous le comprendrez aisément. Je ne peux lui annoncer de prévoir pour 100 convives si nous sommes 130 ou vice-versa. Je reste confiant, j’espère d’ici lundi prochain être en mesure d’avoir « bouclé la boucle », même si toutes les inscriptions ne me sont pas encore parvenues, j’en suis fort aise. Et n’oubliez pas, si je n’atteins pas mes objectifs, la DG a été claire, je risque ma place, sans indemnités de départ ni pouvoir prétendre à toucher les indemnités chômage. Alors, de grâce, soyez sympas, venez à Alligny le 22 juillet, vous ne le regrettez pas.

Guylem Gohory (responsable holding Tour Operator Alembert and Cie)

 

Comment ça va chez les d’Alembert ?

Bonjour,

Cette fois-ci, c’est la dernière ligne droite, la haute montagne est derrière nous, il reste encore quelques étapes de plaine et un contre-la-montre avant de franchir la ligne d’arrivée, en apothéose, le 22 juillet, sur l’avenue des Champs-d’Alligny, devant une foule nombreuse et en liesse pour acclamer les Alembertins. Attention, cependant, tout le monde n’est pas sûr de franchir la ligne, quelques-uns ayant connu des chutes, d’autres des ennuis mécaniques et certains autres des problèmes de santé, même si le service médical est au top et fait tout pour soigner les petits bobos !

MICHEL THOMAS EN POLE POSITION

J’étais quelque circonspect sur la venue de notre ami Michel, le fils d’André, notre ancien camarade, décédé en 2013, à la maison de retraite de Guérigny (Nièvre), à l’âge de 102 ans. En effet, ce n’est pas simple pour Michel, notamment pour son épouse qui, hélas, connaît de sérieux ennuis de santé.

Me voici rassuré, puisque l’ami Michel vient de me confirmer sa venue, accompagné de son épouse et deux autres personnes. C’est super, je suis très content, une fois encore, que le fils d’André honore de sa présence notre banquet, alors que son père, un temps donné, a lui aussi participé à notre rendez-vous étésien.

JEAN SCHERRER FIDÈLE AU POSTE

Notre ami ébéniste, un de nos doyens, puisqu’il affiche 86 ans au compteur de sa déjà longue vie, a respecté sa parole. J’avais souhaité, ardemment, qu’il put se joindre à nous, le 22 juillet, où il pourra visiter le musée, lui ai-je dit et réitéré.

A priori mes arguments et mon insistance ont fait mouche, puisque Jean m’a confirmé sa venue à Alligny, le samedi 22 juillet. Il fera tout exprès l’aller-retour depuis Paris, dans la journée, ce dont je le félicite et le remercie sincèrement pour cet effort, sachant que ce n’est pas forcément évident pour lui en ce moment.

JACQUES ELLEAU AND Cie ARRIVENT EN FORCE

Ne croyez pas que du côté de Bézenet on se tourne les pouces, que nenni, on suit l’actualité avec acuité. Je n’avais aucune inquiétude, puisque je savais que la famille Elleau avait déjà réservé sa place, via l’ami Georges Laz, au sein d’un gîte du musée.

Cerise sur le croquembouche alembertin, la famille Elleau viendra, accompagnée d’un couple d’amis de Bézenet. Je vous l’ai dit, à Bézenet, on ne fait pas les choses à moitié, puisqu’en fait, ils ne seront pas deux, mais quatre, ce qui s’appelle mettre les bouchées double… Merci les amis, de venir à Alligny, le 22, quatre à quatre !

ALEXANDRE DAVID, AVEC CHRISTIANE, EN PREMIÈRE LIGNE

Notre ami « Alex », et Christiane, son épouse, seront présents le samedi midi, à Alligny, eux aussi. « Alex » s’est démené pour tenter de retrouver un maximum de copains de sa promotion et tenter de les inciter à se retrouver à Alligny, à l’occasion de notre banquet.

Là non plus ce ne fut pas un long fleuve tranquille, ni une sinécure de retrouver les copains puis d’espérer les convaincre de nous rejoindre. À ce jour, il a su ramener dans notre giron, l’ami Abel Colas et, peut-être, Pierre Hilperthauser, mais sans certitude, puisque je n’arrive pas à avoir des nouvelles de Pierre. Gageons qu’avant la date fatidique ce copain et peut-être d’autres de la promo d’Alexandre daignent franchir le seuil de notre maison pour participer à nos agapes.

Toujours est-il que ta démarche, mon cher « Alex », mérite d’être soulignée, elle va dans le sens de l’Histoire. C’est avec des initiatives comme celles-ci ou d’autres que nous arriverons, certes à minima, à redynamiser notre association et lui donner encore quelques raisons d’espérer. 

ANDRÉ GERMAIN, RECORDMAN DES PRÉSENCES AU BANQUET

Pour être franc, même si ce n’est pas au sens littéral du terme, je n’en menais pas large quand je me suis aperçu que je n’avais pas reçu la participation d’André Germain. Hier soir, j’ai pu « enfin retrouver le sommeil », puisque je sais que l’ami Dédé et son épouse Noëlle, seront bien des nôtres, son bulletin de participation devant me parvenir avant la fin de cette semaine.

Dédé est « un vieux » de la vieille en la matière, non pas qu’il soit si âgé que cela, c’est même encore un « jeunot », mais surtout parce que c’est sans doute un des plus fidèles de notre grand rendez-vous. Dédé n’est sûr de rien, il va vérifier, mais il est fort probable qu’il approche les 40 participations. Avouons-le, sans crainte d’être démenti, il doit même en être le recordman.

Concomitamment, notre ami gère le concours de pétanque avec maestria, lui, le « pointeur » patenté, reconnu pour ce talent, dans toutes les communes de Seine-et-Marne et plus si affinités. J’en profite, d’ailleurs, pour lancer un appel afin de récupérer des coupes et ainsi être en mesure de pouvoir récompenser les heureux récipiendaires dudit concours. En tous les cas, merci à toi, Dédé pour ton entregent. Bientôt, promis juré, je vais tout faire, je remuerai ciel et terre, je me « mettrai nu sur la place de Jaude », pour que tu entres dans le livre des records alembertins !

KHIMA ZAHIR VIENT DE ME DIRE OUI, POUR LE MEILLEUR, PAS POUR LE PIRE

L’ami « Kim », un bon petit gars de ma promotion, était incertain jusqu’à aujourd’hui, avant que j’arrive à le joindre. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter et m’a confirmé qu’il serait bien présent. Me voilà, rasséréné, car je m’inquiétais, craignant franchement qu’il ne vînt pas à notre rendez-vous.

« Kim », localisé sur le bulletin à Perpignan, est en fait à Paris un certain nombre de mois, car malgré la retraite, il continue à travailler sur la région parisienne. Nous avons évoqué les copains et notamment les frères Bazile. Je lui ai fait part de mon angoisse concernant nos deux copains, qui d’ailleurs ne paient plus leurs cotisations, puisque nous ne les voyons plus, sachant qu’ils ont toujours payé quand nous les rencontrions, jamais d’une autre façon. J’ai demandé à « Kim », le cas échéant, de bien vouloir « servir » de covoiturage aux frérots, ce qu’il a accepté bien volontiers. Je vais tenter de les joindre et les mettre en rapport avec « Kim » et ainsi tout faire pour garantir leur venue à Alligny et les « récupérer » au sein de notre association.

ET MAINTENANT, QUE RESTE-T-IL À ESPÉRER ?

Il ne s’agit pas de vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure ni « tomber » dans une forme de nihilisme, ce n’est pas dans mes gènes. Il faut juste être conscient qu’il faut (faudra) mettre beaucoup d’énergie pour que notre banquet continue à vivre, malgré le vieillissement de notre « population ». Pour le vivre en direct, je peux vous avouer que cela ne va pas sans sans poser des problèmes pour beaucoup de copains qui, aujourd’hui, ne peuvent plus venir, alors qu’ils ont toujours répondu présents auparavant… A ce niveau, le mal semble endémique, hélas.

Où en sommes-nous aujourd’hui ? Je préfère le verre à moitié plein au verre à moitié vide, ce qui me permet de vous énoncer que nous sommes sur la bonne voie. Nonobstant, il faut savoir raison garder, puisque beaucoup d’incertitudes à l’heure où j’écris ces quelques lignes, demeurent. En ce mardi 5 juillet, à 14 heures, nous sommes 82 le midi et 61 le soir, ce qui n’est pas le chiffre définitif, j’en suis fort aise.

Cependant, j’ai à gérer une équation à plusieurs inconnues, puisqu’un nombre relativement conséquent de personnes est toujours indécis, voire dans l’expectative quant à leur présence. Elles attendent encore un peu avant de se prononcer définitivement. Pour certaines, je suppute qu’il n’y aura pas de problème, pour d’autres je suis quelque peu circonspect. Je vais, durant les 8 prochains jours, me concentrer et mettre toute mon énergie et ma « force de persuasion » envers tous ces copains, en espérant les encourager à nous rejoindre. Il est essentiel, avant le 14 juillet, d’avoir la garantie, que toutes et tous seront présents ou pas, afin de prévenir en amont le traiteur qui, lui, a un impérieux besoin de savoir combien nous serons exactement le 22 juillet.

Voilà les amis, ce sera tout pour aujourd’hui, ces jours prochains je vous donnerai d’autres nouvelles qui, j’espère, seront toutes bonnes.

Confraternellement à toutes et tous.

Guylem Gohory (président des anciens d’Alembert)