Jean-Claude Cormier mis à l’honneur lors du banquet

Bonjour,

Comme je l’avais relaté sur le petit hommage (mérité !) que j’avais rendu à Jean-Claude Cormier lors de la parution du dernier bulletin, le vœu s’est réalisé, puisque de la parole aux actes il n’y a qu’un pas que nous avons franchi allègrement.

C’est par l’intermédiaire de Fabienne Le Romanser (biographe de son état), qui vient visiter Jean-Claude depuis un an, que j’avais « ordonné la chose ». Ceci me permet de vous signaler que la réponse qui a été faite à mon hommage, l’a été par cette biographe qui s’est inspirée des écrits qu’elle a compulsés un peu partout, m’a-t-elle indiqué. Jean-Claude a du mal à s’exprimer par la parole, mais il a gardé « toute sa tête », selon l’expression consacrée !

J’avais donc sollicité Fabienne Le Romanser pour que le jour du banquet, je l’appelle quand nous serions prêts pour l’apéritif. Le but avoué étant que je laisse mon téléphone près des enceintes de la sono et que nous entonnions un vibrant « A la santé du confrère… » en l’honneur de Jean-Claude et que nous terminions par des applaudissements nourris en hommage à notre ami.

Un grand moment d’émotion a parcouru la salle durant cet intermède, tandis que du côté de Jean-Claude, l’émoi devait être, à n’en pas douter, à son comble. Sans aucun doute, Jean-Claude a su l’exprimer par de nombreux signes, tandis que ses yeux devaient scintiller de bonheur, certes éphémère, mais bien tangible.

Certes, vu de loin, cela peut vous paraître « pas grand-chose », mais je peux vous témoigner que pour lui « ça veut dire beaucoup ». La solidarité ne doit pas uniquement se nimber de bonnes intentions proférées à l’envi, elle DOIT pouvoir se justifier et, notamment, se concrétiser à TOUT MOMENT par des gestes fraternels, des appels, des soutiens amicaux ou pécuniaires comme pour le « Marquis » ou Jean-Pierre Champion et bien d’autres choses encore…

Je vais rester en lien avec Fabienne Le Romanser, afin d’avoir des nouvelles régulières de Jean-Claude, c’est plus simple qu’avec son demi-frère qui, lui aussi, est très présent pour Jean-Claude.

Mon cher Jean-Claude, sache que nous ne t’oublions pas (tout comme toi tu penses à nous !) et que nous serons toujours présents par la pensée et par des gestes affectueux ou autres actions solidaires envers ta personne. J’ai un grand bonjour à te donner de ton ami Christian Monnier qui, lui aussi, hélas, est frappé de plein fouet par la maladie.

Un grand merci à Fabienne Le Romanser pour tout ce qu’elle fait pour notre frère alembertin.

Bon courage à toi et sincères amitiés personnelles et alembertines, tu restes gravé dans nos cœurs et tu gardes toute notre estime et notre soutien indéfectible à tout jamais.

Guylem GOHORY

PS : ce courriel a été envoyé à Fabienne Le Romanser afin qu’elle puisse le lire à Jean-Claude.

Album photos du 51e banquet du Morvan

Bonjour,

Au « Théâtre ce soir », les décors étaient de Roger Harth et les costumes de Donald Cardwell ! »… Ici pas question de théâtre mais de photos de notre 51e banquet du Morvan.

Les clichés sont issus de mon propre appareil mais le « shooting » est l’œuvre d’une belle et jeune photographe à qui j’avais confié le soin de prendre des photos durant toute la journée, puisque j’étais bien occupé par ailleurs. Seules les deux dernières images de l’arc-en-ciel qui nous a fait l’honneur, en fin d’après-midi, de s’offrir à nos yeux ébaubis, l’ont été par mes soins.

« Ma photographe » a bien travaillé puisqu’elle avait « shooté » pas moins de 408 fois. J’ai donc fait un tri parmi les doublons ou les triples, j’ai recadré toutes les images et retravaillé quelques-unes pour, au final, vous proposer ce petit album qui immortalise notre traditionnel rendez-vous où, comme vous le percevrez, tous les convives ont su apprécier, notamment après deux ans d’absence.

Maintenant, je suis dans l’attente d’au moins deux « livraisons » d’autres épreuves prises par des Alembertin(e)s. Dès que je serai en possession de celles-ci je fabriquerai de nouveaux albums que je ne manquerai pas de vous proposer en vous les envoyant dans la foulée.

Bon visionnage, vous pouvez commenter à satiété !

Confraternellement.
 
Pour les ouvrir, c’est simple vous cliquez sur le lien ou l’image et le tour est joué. Vous pouvez les enregistrer, les copier, les imprimer, tout est ouvert à toutes et tous !

Banquet du Morvan – Alligny – 24 juillet 2021

Les absents ont toujours tort…

Nous connaissons tous l’expression et nous avons eu le loisir d’en vérifier la véracité durant notre Banquet à ALLIGNY. Pour autant il n’entre pas dans mes intentions de vous coller des regrets mais simplement de vous relater l’extraordinaire week-end que nous avons vécu là-bas. Ce n’était pas en petit comité puisque nous étions 84 participants, mais quelle ambiance.

Aucun bémol, tout s’est déroulé comme prévu par les organisateurs (Je ne m’étendrai pas plus sur leurs mérites, ils pourraient se prendre le « melon » ou la grosse tête si vous préférez !).

Samedi soir : Repas à l’Auberge du Morvan, ambiance chaleureuse, repas de qualité, en prélude à un banquet réussi, c’était très bien.

Samedi à midi : Les choses sérieuses commencent. Le traiteur dégoté au dernier moment nous régale, tout est parfait, copieux et apprécié. Une adresse que notre Président s’est empressé de retenir pour nos futures agapes. Le tout arrosé de quelques crus – blanc et rouge – de la Bourgogne toute proche.

Ensuite, après quelques averses – il est bien connu que l’eau c’est pour les belles plantes, n’est pas Mesdames ? Elles étaient nombreuses toutes plus souriantes les unes que les autres – nos camarades boulistes purent exercer leurs talents.

Après que ces Messieurs eurent pointé, tiré, mesuré au mm près, les tables furent dressées pour le buffet froid du soir très fourni lui aussi. Nous avons eu un animateur qui lui aussi à fait de son mieux pour mettre de l’ambiance et il a réussi, bravo à lui.

Et, et surtout, nous avons retrouvé L’EXTRAORDINAIRE AMBIANCE AMICALE de nos réunions Alembertines et même des amis perdus de vue. Que du bonheur… bien que nous ayons eu à déplorer de nombreuses absences, le COVID en ayant effrayé plus d’un.

Si, d’aventure, vous avez des regrets, sachez que l’an prochain le banquet aura encore lieu à Alligny. Vous pouvez déjà vous inscrire…, vous enverrez votre chèque plus tard.

Amitiés Alembertines.

Georges LAZ

Jean-Claude Cormier nous écrit

A vous tous mes amis,

Une plume m’invite à vous répondre, ce que je me suis empressé d’accepter. Empressement, certes, dissimulé par la maladie, mais ressenti, fortement ressenti.

Car, comme vous l’avez si bien évoqué, je suis un homme de « voiX-E »

Dans mon cas, les deux orthographes sont justifiées.

« Voix » : Celle de stentor, qui déclamait, haranguait, dénonçait, encourageait, racontait.

« Voie » : Celle que j’ai découvert, suivie, affirmée et partagée depuis ma Bretagne natale jusqu’en pays Montévrain et bien au-delà encore lors de mes périples de globe-trotter.

La voiX-E de l’Amitié, solidaire et fraternelle.

S’il est un virus qui m’affecte et auquel je suis attaché, il s’agit bien de l’Amitié. Contre celui-ci, nulle volonté d’être vacciné, je préfère l’incarner.

L’Amitié fidèle et plurielle, celle que j’ai découvert pratiquement au berceau, celles qui m’ont aidé à grandir, à garder confiance à passer tous les âges, les épreuves et les réussites. Et j’en compte un bon nombre sous l’œil bienveillant de notre Vieille Dame, Noble Dame.

A vos côtés, jour après jour, je me suis trouvé une famille, mois après mois, je me suis formé à un métier, année après année, je me suis engagé à redonner ce qui m’avait été offert. Une place, mon histoire dans la vôtre et vice et versa.

Tout ce que vous écrivez est vrai, tellement vrai. Mon combat aux côtés de Ma Josiane, ma détresse si profonde à son décès, mon amour infini.

Mais il est une autre vérité, toujours aussi intense, celle de mon engagement, de ma fraternelle fidélité envers mes amis.

Souvenez-vous de moi tel que vous me décrivez : épicurien, dithyrambique, globe-trotter car tout cela me définit.

C’est ainsi que j’ai vécu, c’est ainsi que je me revendique malgré la maladie. Pied de nez, uppercut, croche patte au mal insidieux qui m’envahit. Face à l’insupportable qu’ il m’impose, je m’extirpe de ce silence pour vous répondre à vous tous compagnons de route, encore vaillants ou affaiblis par la maladie, la vieillesse ou la solitude.

Rien ne peut et ne pourra effacer tout ce que nous avons partagé, tout ce qui nous rassemble au tréfonds de notre être. Nos valeurs fraternelles et solidaires, intrinsèques à chaque Alembertin.

Merci pour vos mots, merci pour les cartes postales. Certes, ils ne balaient pas les affres de la maladie mais ils révèlent l’intention permanente, réchauffent le cœur, le gonfle d’émotions et de gratitude.

Fidèle, engagé, je garde en ma mémoire inoxydable, comme vous le savez, toutes mes rencontres Alembertines. Du jeune fraîchement diplômé à l’ancien compagnon visité en demeure, en passant par mes rappels amicaux aux adhérents afin qu’ils honorent leur cotisation.

Pour chacun, j’ai eu ce geste, figé sur les photos souvenirs que je conserve précieusement. Un geste, une attitude, une présence observée par la plume qui accompagne ces mots. « Une main sur l’épaule ». Cette main qui réunit, encourage, accueille, reconnait, remercie. Cette main, le jour du banquet du Morvan à Alligny- en -Morvan, posez-la sur l’épaule de votre voisin de joyeuse tablée. Formez une chaîne humaine de l’Amitié Alembertine. Immortalisez-la et partagez-la avec tous les nôtres, Alembertins, veuves…

De mon pays natal, auprès de mon « demi-frère » et de mes anges-gardiens si dévoués, je serai avec vous en pensées et de tout mon être.

Voyez, confrères, malgré la maladie j’ai saisi l’occasion d’en « placer une » et de vous témoigner, à nouveau, mon engagement viscéral.

Ne vous méprenez pas, si cette réponse vous parvient, c’est qu’elle est mienne.

Ma voix n’est pas usurpée, ma voix est portée, humblement et fidèlement.

Alors, main sur l’épaule et verre levé à « La santé des confrères ».

Jean-Claude CORMIER

 

Les Petits Paris du Morvan

Bonjour,

Je ne sais pas si vous avez été mis au courant mais FR3 Bourgogne a diffusé un reportage lundi soir, en deuxième partie de soirée, corrélatif à l’histoire des Petits Paris, ces enfants de l’Assistance publique placés dans le Morvan…

C’est avec plaisir, que je vous envoie le lien qui vous permettra de regarder ce reportage, même s’il ne nous apprend pas grand-chose que nous ne sachions pas, il est, selon moi, très bien fait, il relate peu ou prou la vie de ces gamins, notre vie à tous, que nous ayons été « élevés » dans le Morvan ou pas…. Vous devriez même reconnaître des personnes. J’espère que vous serez nombreux à prendre le temps de le regarder et de donner votre avis sur ce reportage, cela pourrait permettre d’alimenter l’information alembertine ces prochaines semaines.

Pour regarder la vidéo :

Il faut descendre un peu et cliquer sur la vidéo intitulée VOIR LE DOCUMENTAIRE… Hélas, vous devrez patienter 100 secondes, le temps de la publicité imposée, avant que le reportage commence… Pour le plein écran, il faut placer la flèche de votre souris sur le coin droit en bas, juste au-dessus de la durée.

Bon visionnage, j’attends vos nombreux retours !

Confraternellement.

Guylem GOHORY

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/l-histoire-des-petits-paris-ces-enfants-de-l-assistance-publique-places-dans-le-morvan-2052607.html

Joyeux 1er mai « ensoleillé » !

Bonjour à toutes et tous,

JOYEUX 1er MAI !

Marie-Thé et la petite famille se joignent à moi pour vous offrir, bien modestement, cette petite carte de muguet, ornée de bonheur et garnie de bonnes intentions, à l’occasion du 1er mai !
Prenez soin de vous et des vôtres, la petite lumière de sortie de tunnel se rapproche, pas d’imprudence si nous voulons nous retrouver fin juillet.
Le meilleur pour vous et à vos proches.
Confraternellement.
Famille Gohory

Canaries : Karine et Patrick y ont fait leur nid


Bonjour,

Je pense que vous avez été très nombreux à avoir regardé le reportage, où vous avez eu plaisir à reconnaître Karine et Patrick LAPORTE, lors du reportage de M6 consacré à ces Français qui « ont fait leur nid au Canaries », plus précisément à Tenerife… Cette île, où c’est le printemps toute l’année et où Patrick (l’ancien ébéniste alembertin) et Karine peuvent cueillir jusqu’à 50 kg d’oranges depuis l’arrière de leur belle casa canarienne et se régaler d’un excellent thon rouge frais, trois fois moins cher sur le continent français.

Régulièrement ils se rendent dans un restaurant situé dans le quartier des pêcheurs, où ils retrouvent des amis et se régalent de produits de la mer (poulpes, calamars frits), 8 à 12 € le plat, avec une sauce à déconseiller pour les hémorroïdes, selon Patrick. Karine est consciente d’avoir la chance de vivre et profiter de cette « douceur » sur cette île, puisque hormis le masque, ils n’ont pas à subir les affres du confinement comme nous autres, pauvres petits Français « moyens » !!!

Quant à Karine elle explique comment elle a submergé l’île de son « pantalon magique », un véritable jackpot pour notre couple qui, dorénavant, coule des jours heureux, dans leur havre de paix, à Tenerife… Quant au vélo de Patrick, vous verrez qu’il est équipé d’une batterie et que lors de la montée du Teide (volcan qui domine à 3.700 m, et sa route avec ses montées jusqu’à 9 %), il se fait doubler par Geraint Thomas (Ineos Grenadiers), ancien vainqueur du Tour de France. Le Teide est devenu le terrain de jeu des professionnels de la discipline. Dernièrement, c’est l’Auvergnat de Royat, Romain Bardet, qui a posé ses roues sur l’île en vue de sa préparation pour le Giro d’Italia, sous ses nouvelles couleurs DSM, qui se déroulera du 8 mai au 30 mai. Heureusement, contrairement à Geraint Thomas, Patrick est attendu par sa douce et tendre Karine qui n’a d’yeux que pour son champion et chéri de mari !

Leur histoire d’amour avec cette île n’est pas terminée puisque dans quelques mois Patrick et Karine fêteront leurs 23 ans de présence à Tenerife… Selon une indiscrétion, je crois que leur fils a suivi les traces de papa et maman et a décidé de s’inscrire dans les pas de l’aventure professionnelle de ses parents pour le plus grand plaisir de papy et mamie qui, il me semble, ont la chance d’avoir un petit-fils canarien de… 7 ans !

Confraternellement.

Guylem Gohory

Je vous joins le lien qui vous permettra de voir ou revoir l’émission et apprécier notre couple de Canariens… alembertins.

https://www.6play.fr/66-minutes-p_825/canaries-les-francais-y-font-leur-nid-

L’au-revoir à Michel Bertrand

Chers amis Alembertins,

Ce lundi 15 mars 2021, Gilles et Catherine Beignet, Francis Fidelaine et Jean-Marc L’Hélias se sont retrouvés sur la place de l’église, à Damville, pour assister à la cérémonie religieuse de notre cher ami Michel Bertrand, décédé le 10 mars 2016.

Une belle cérémonie, ponctuée des discours de ses enfants, ainsi que de Francis Fidelaine. Nous nous sommes rendus, ensuite, au cimetière des Minières, près de l’ancienne demeure de Michel. Notre Mimi repose près de son épouse Annie.

Jean-Marc L’HELIAS

Voici l’hommage à notre ami, lu par Francis :

Michel,

À l’occasion de chacune de nos rencontres avec les amis d’Alembert, bien souvent autour d’une bonne table, à un moment donné, tu ne pouvais t’empêcher, d’une manière théâtrale, de te lever et avec ton air enfantin, en jouant le timide, tu t’exprimais ainsi : « Mes amis, je voudrais vous dire quelque chose ! »

Aujourd’hui, ce sont les amis d’Alembert qui veulent te dire quelque chose, à commencer par Georges LAZ :

Michel,

Après l’époque des examens venait l’heure de la liberté, chèrement acquise. Valise en main, costume neuf, cravate parfaitement ajustée, le petit Bertrand prenait son envol, cœur léger, port altier, en quête d’une place au soleil ce, grâce à son beau métier.

Après de nombreuses années, ayant voyagé au gré du vent, il réapparaissait au banquet annuel de Chissey-en-Morvan. Toujours égal à lui-même, il présentait sa chère et tendre Annie, contait leurs pérégrinations, un vrai plaisir de l’entendre.

Ce retour, nous le devions à notre camarade André Moutote, qui s’était battu pour réunir quelques compagnons. Il avait réussi : ils étaient là, ébénistes, typos, un rien empâtés, exprimant surtout la joie de se revoir, passablement épatés.

Et aussi par Catherine et Gilles BEIGNET

Michel, notre Mimi

Nous nous sommes connus à l’association des Anciens d’Alembert. Ton côté théâtral dans tes prises de paroles nous a plu.

Annie ton épouse à tes côtés, était toujours souriante et pleine d’énergie. Malheureusement, en mars 2011, sa mort brutale vous a séparés. Nous pensions que tu ne t’en remettrais jamais, vous étiez tellement unis. Heureusement, ta grande famille, que nous avons eu l’occasion de rencontrer à Damville, était auprès de toi, pour apaiser ta douleur.

Et puis un jour, une belle rencontre. Dans ta vie, une charmante Québécoise, Claude, t’a redonné l’envie de vivre. Claude était toujours attentive à tes paroles. Nous avons eu la chance de passer quelques jours avec vous à Québec.

Tu aimais inviter les amis chez toi pour passer d’agréables moments. Que de souvenirs et de parties de rigolade !

Aujourd’hui, tu nous quittes et tu vas rejoindre Annie pour l’éternité.

Puis parValérie et Jean LETOCART

Michel, mon Ami,

Nous nous connaissons depuis octobre 1952, et nous avons passé de belles années ensemble. Puis la vie nous a séparés, mais nous sommes devenus de très bons amis.

Ta joie de vivre et ton humour nous resteront à jamais gravés dans nos mémoires. Calme, posé, érudit et discret sont des qualificatifs faits pour toi.

Seule ta dernière décision de nous quitter, calmement, de t’endormir sans prévenir, n’est pas la meilleure.

Dors en paix, tu le mérites bien.

Nous sommes tristes, voilà ! Très tristes.

Adieu l’ami.

Sans oublierJean-Marc L’HELIAS

Michel,

Lors de notre première rencontre, au banquet d’Arnay-Le-Duc, j’ai vite compris que nous n’avions pas fini d’entendre ton intarissable faconde.

Souvent au cours de nos amicales réunions, en fin de ripailles, quand tu commençais à t’agiter sur ta chaise, nous comprenions rapidement, que le discours de Michel arrivait. Bien sûr nous tentions bien de t’en faire perdre le fil. Mais quel plaisir nous avions à te voir si heureux de nous rejouer, pour la énième fois ton rôle de « MONITEUR GÉNÉRAL ».

Et combien d’autres Alembertins avec le président qui, dans nos échanges mails, ont pu depuis l’annonce de ton décès, exprimer leur tristesse et raconter des moments mémorables passés en ta compagnie.

Merci Michel pour tout cela.

Repose en paix, mais te connaissant, il est possible que tu fasses encore rire bon nombre !

Georges, Jean, Gilles, Jean-Marc et Francis